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Amina Sboui, l’ex-femen tunisienne, en garde à vue à Paris pour « dénonciation de délit imaginaire »

Et voilà qu’Amina Sboui, l’ex-femen tunisienne prétendument repentie, refait parler d’elle dans la rubrique des faits divers, après avoir été placée en garde à vue mardi pour « dénonciation de délit imaginaire ».

L’étrange jeune femme, que l’on avait eu la surprise de découvrir à Paris, en mai dernier, sur le trottoir devant l’ambassade d’Egypte, en train de se donner tristement en spectacle dans le même dénudement provocateur que les scandaleuses qui surfent sur la vague de l'islamophobie et en reproduisant les mêmes gesticulations hystériques, en signe de soutien aux Frères musulmans condamnés à mort, avait affirmé avoir été agressée début juillet par "cinq islamistes" en plein Paris. Ces derniers lui auraient, selon ses allégations, rasé les cheveux et les sourcils.

Serait-elle atteinte du délire de la persécution ou est-elle à ce point en mal de reconnaissance et de notoriété qu’elle s’imagine pourchassée par de méchants islamistes ? Des sources concordantes, citées par l’AFP, précise que l'ex-femen, toujours prompte à ôter le haut et à bomber le torse devant les caméras, est entendue pour « dénonciation d’un délit imaginaire ». « Les policiers semblent avoir des doutes sur la scène qu’elle a décrite car celle-ci n’a pas été filmée », a déclaré à l’AFP son avocat Me Martin Pradel, confirmant une information de 20 Minutes.

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Le récit rocambolesque de ses mésaventures n’a manifestement pas convaincu la police, Amina Sboui, la drôle de pasionaria de la lutte contre l’injustice qui joue les féministes engagées en se déshonorant, aurait-elle perdu pied avec la réalité pour voir son nom faire la Une des gazettes ? A ce rythme-là, c’est la rubrique des chiens écrasés qui la guette…

 

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