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Zahra Lari, la première patineuse voilée des JO d’hiver de Sotchi

En ballerine de la glace, l’émiratie Zahra Lari évolue avec grâce sur les patinoires du monde entier, s’attirant, partout où elle passe, le feu des projecteurs pour être la première patineuse en hijab à glisser avec une belle aisance dans la légende d’un sport érigé en art, le patinage artistique.

Du haut de ses 18 printemps, ses patins aux pieds, celle qui est désormais précédée de son surnom évocateur « la patineuse voilée du désert », en référence aux immenses dunes de Rub al Khali, dans la péninsule arabique, qui l’ont vue naître, tournoie et virevolte dans les compétitions internationales, montrant toutes les facettes de son talent en pleine éclosion, jusqu’à défendre les couleurs des Emirats Arabes Unis aux JO d’hiver de Sotchi.  

Elle enchaîne les premières avec la légèreté de l’étoile de la glace qu’elle est en train de devenir, Zahra Lari, dans un double axel aérien qui la fait toujours retomber sur ses pieds, écrit une nouvelle page des Jeux Olympiques en étant la première patineuse voilée à concourir en compétition officielle.

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Alors qu’elle se projette déjà en Corée du Sud, aux prochains JO de 2018, où elle espère être plus aguerrie pour rivaliser avec l’élite mondiale, la jeune athlète prometteuse des EAU, qui souhaite contribuer à changer les mentalités, en Orient et en Occident, et ouvrir la voie à ses jeunes coreligionnaires, se remémore avec émotion la naissance de sa passion, quand elle découvrit fascinée, à l’âge de 11 ans, le film de Disney « Une princesse sur la glace ».

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