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Une lycéenne américaine de confession musulmane sollicitée par les plus prestigieuses universités américaines

Rayonnante, insubmersible et avec de l’énergie à revendre, Munira Khalif, impressionnante de maturité, n’a que 17 ans et déjà les huit prestigieuses universités de la Ivy League à ses pieds, réussissant le tour de force d’être sollicitée, voire même hyper-sollicitée jusqu’à être pressée de faire un choix, par le fleuron de l’enseignement supérieur du Nord-est des Etats-Unis, réputé pour sa grande sélectivité et son élitisme.

Se bousculant pour obtenir les faveurs de cette brillante lycéenne musulmane, née de parents somaliens et native du Minnesota, les universités Brown, Cornell, Dartmouth College, de Columbia, de Harvard, de Pennsylvanie, de Princeton et de Yale, mais aussi de Stanford, Georgetown et du Minnesota, se livrent une âpre concurrence pour recruter dans leurs enceintes de l’excellence une jeune fille des plus prometteuses, qui marche à grands pas sur les traces de sa coreligionnaire Saheela Ibrahim, l’adolescente surdouée qui a époustouflé l’Amérique en entrant par la grande porte à Harvard, à l’aube de ses 15 ans.

Alors que l’effervescence règne dans son entourage, exacerbée par l’agitation médiatique qui s’intensifie de jour en jour, Munira Khalif affiche une joie pleine d’humilité, se disant "extrêmement surprise" par ce qui lui arrive, comme si elle peinait à réaliser que ses résultats scolaires remarquables alliés à son exceptionnel parcours de militante communautaire, couronné par le prix Spécial de l’ONU pour « l’Education de la jeunesse et le courage », en ont fait une étudiante de premier plan, très convoitée par les plus anciennes et illustres universités du pays.

"Je suis honorée d'avoir la possibilité de choisir parmi ces écoles de grand renom, car ce sont des temples du savoir prodigieux pour apprendre et grandir", a déclaré sobrement, le visage traversé par un sourire radieux, cette ambassadrice mondiale de la jeunesse, particulièrement sensibilisée à l’éducation des jeunes en Afrique de l’Est et très investie dans la campagne « Girl Up » initiée par la Fondation des Nations Unies, ayant vocation à inciter les jeunes filles à s’impliquer activement dans la société.

Face à ce choix cornélien qui se pose à elle, dont beaucoup rêveraient d’être écartelés par un tel dilemme, Munira Khalif projette de visiter préalablement chaque établissement avant de prendre sa décision, d’ici au 1er mai, ayant déjà tranché quant à la voie royale qu’elle empruntera pour, un jour, agir efficacement et au plus haut niveau en vue de changer le monde : un doctorat en sciences politiques.

 

 

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