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Révélations sur Julien Madar, le financier d’Éric Zemmour

Jeunes, banquiers, gérants de start-up… Ils restent dans l’ombre pour l’instant, mais certains financiers d’Éric Zemmour ont un profil qui rappelle ceux des lieutenants d’Emmanuel Macron pendant la campagne de 2017. Révélations de la cellule investigation de Radio France.

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2 commentaires

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  1. Comment encourager le patriotisme ?

    « Changer le prénoms des personnes d’origines étrangères ». Cette simple proposition serait la solution miracle pour créer ce fameux peuple idéale ou redonner à la France son authenticité perdue. Mais en attendant, ce repli-culturel que dénonce certaines personnalités à l’air pourtant de se mondialiser : L’Australie, qui a annoncé récemment l’abandon du contrat d’équipement militaire passé avec la France, pour se tourner vers les États-Unis, cache visiblement une nouvelle alliance anglo-saxonne (culturelle) qui englobe la Grande-Bretagne, les usa et l’Australie. Aucun observateur n’a visiblement analysé ce repli communautaire…

    La France ne peut-elle compter finalement que sur ses proches voisins ? Les pays d’Europe et du sud de la méditerranée ? Que cela plaise ou pas ? Cela arrive très souvent, en cas de difficultés, la famille est souvent loin, seuls les voisins de paliers sont souvent disponibles… Mais ces voisins si proches, paraissent parfois étrange, un peu étranger. Le fameux thème de l’identité nationale est un sujet délicat car il touche l’intimité de chacun, personne ne peux changer la mémoire familiale de tout un peuple, de plus l’identité est variable dans le temps, ce qui la décrit aujourd’hui, ne sera plus valable demain. Alors il faut la repenser continuellement.

    Le respect des règles et des valeurs d’une société, voila ce qui ne doit pas être négociable dans une société, pour le reste tout se discute, tout se négocie, mais ne s’impose pas. Bien sûr, la paysage culturel et l’harmonie du peuple doivent être préservée, mais il y a une façon plus digne, plus élégante d’encourager cela, c’est de rappeler par exemple que l’identité nationale concerne tous les citoyens, sans exception, chacun à sa part de responsabilité, mais qu’il n’y a pas une manière unique de la préserver.

    En effet, on peut aimer son histoire, ses paysages, sa population, sa gastronomie, ses idées, sa culture, peut-être tout ou qu’une partie de cela. Mais ceci ne se décrète pas, ne s’impose pas. C’est ce lien que nos dirigeants doivent encourager, clarifier et cultiver notre lien à notre à notre patrie tout en étant soi-même, sans renier son histoire et celle de ses ancêtres.

    Comment peut-on reprocher à une partie de la population de se comporter en étranger alors que cela fait 20 ou 30 ans qu’ils ne possèdent qu’un simple titre de séjour, cela en payant des impôts, mais ne pouvant pas voter ? Un titre de séjour, quel est ce statut ambiguë qui nous maintient dans la peau d’un étranger?

    Le paysage démographique d’un pays ou d’un continent évolue constamment, parfois cela peut déplaire, mais pour l’instant il faut un peu s’en accommoder, car il est difficile de maîtriser l’évolution du monde. Il faut s’en accommoder tant que les grandes puissances développés n’essaient pas d’accompagner les pays sous-développés, au lieu de se disputer le monopole commerciale du monde, qui a mis de coté tous les autres pays.

    Finalement, le communautarisme culturelle que nous déplorons, est la conséquence du communautarisme économique que se partagent les grandes nations du monde…

    http://jonasdjeser.unblog.fr/

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