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Quand un prince arabe a voulu s’offrir Claudia Schiffer pour 1 million de livres

Parader aux côtés d’un top-model, en l’occurrence l’une des plus célèbres du monde, que l’on s’offre comme un trophée au même titre qu’une limousine rutilante hors de prix, c’est une de ces petites folies que certains nababs du Golfe persique ne se refusent pas, croyant que l’argent qui coule à flots peut tout acheter, même la dignité humaine.

Cette proposition indécente, qui a aligné les zéros pour se payer le luxe de dîner en présence d’un faire-valoir glamour, en la personne de Claudia Schiffer, alors à l’apogée de sa carrière, n’a pas été du goût de l’égérie allemande de grandes marques de luxe, qui l’a purement et simplement déclinée, prince arabe ou pas.

A 43 ans, Claudia Schiffer est revenue, à la télévision britannique, sur ses débuts fulgurants qui l’ont propulsée, dans les années 90, au firmament de la mode, relatant cette anecdote qui, loin de la flatter, lui a laissé un arrière-goût amer. "Cet homme était un prince arabe. Il a demandé s'il pouvait m'embaucher pour un dîner, en échange de 1 million de livres. J'ai refusé et un autre top a sauté sur l'occasion", a-t-elle révélé, sans aller jusqu’à dévoiler l’identité du prince, présomptueux et indélicat, ni celle de l’autre mannequin qui a eu bien moins de scrupules qu’elle.

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Si, pour sa rivale, la perspective de décrocher le jackpot valait bien d’être réduite à l’état de femme-objet pour satisfaire aux caprices d’un roi du pétrole, pour Claudia Schiffer, cela était inconcevable : "Ce n'est pas une question d'argent. Je veux juste être capable de marcher dans la rue et être fière de ce que je fais", a-t-elle déclaré.

On peut être top-model et avoir une certaine éthique, en revanche, c’est à se demander si les principes ne sont pas faits que pour s’asseoir dessus pour tous ces émirs frivoles, nés avec une cuiller d’argent dans la bouche…

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