C’était en 2014, sur la scène du Club de Discussion Valdaï, un forum international qui chaque année rassemble des experts pour débattre de la Russie et de son rôle sur l’échiquier mondial, Vladimir Poutine disait tout haut ce que d’aucuns subodoraient tout bas, craignant d’être marqués au fer rouge du « complotisme » : le président de la Fédération de Russie imputait aux Etats-Unis l’entière responsabilité de la création de Daesh, ou encore de l’ISIS, voire de l’Etat Islamique, les différents acronymes recouvrant la même réalité calamiteuse d’une créature démoniaque se retournant contre ses créateurs…
Une analyse sans langue de bois qui demeure d’une actualité brûlante.
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