Al-Farabi (mort autour de 950) est considéré dans la philosophe médiévale de langue arabe comme le second maître après Aristote. Il y a lieu de situer le contexte culturel et philosophique où il a exercé.
Le philosophe Al-Fârâbî (Xe siècle), le second maître
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Par exemple le penseur Ibn el arabi disait : “Si le cerveau et l’information ne se retrouvent pas, il faut favoriser le cerveau parce que le cerveau est l’origine de l’information”.
Il y a du vrai dans ce qu’il dit, le problème est qu’il n’a pas le droit d’en faire une loi.
La plupart des musulmans, y compris moi, sont des musulmans par l’information transmise de père en fils, nullement par le cerveau, d’autres d’origines Européennes, Américaines sont des musulmans par le cerveau.
Les médecins El farabi ou Avicenne étaient de bons médecins mais faisaient aussi de leur pensées philosophiques des lois,
A part el Razi médecin qui est resté modeste les dernières années de sa vie.
C’est pour cela que l’Islam est le juste milieu et n’aime pas décréter des lois. Il y avait dans le passé deux grandes écoles dans l’interprétation, école de l’information à Médine (Malikite) et l’école de l’avis en Irak (anafite) et les différents ont toujours été d’une nature secondaires.