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Ô Bien-aimé

Ô Bien-aimé

 

Au premier printemps la lumière vînt,
Et quelles plus belles prémices que cet enfant béni.
Quelle fête plus vivante que celle de la naissance,
Quel amour plus pur que celui de la mère,
Quelle offrande meilleure au monde.

Pour l’amour du Prophète, que Dieu élève nos esprits.
Par l’amour du Prophète, que Dieu sanctifie nos vies.
En l’amour du Prophète, que Dieu illumine nos nuits.

Les fruits de l’amour sont l’amour,
Qu’il est beau l’arbre de l’amour de ses fruits lourds.

Ô mon cœur ! Sois sa terre, sois la semence.
Ô mon cœur ! Sois sa source, sois l’eau.
Ô mon cœur ! Sois sa lampe, sois la lumière.
Ô mon cœur ! Sois !

Qui n’a jamais eu faim ne connaît le pain,
Qui n’a jamais eu soif ne connaît l’eau,
Mais qui n’a jamais aimé ne connaît point l’amour.

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Qui n’a jamais souffert ne connaît le repos,
Qui n’a jamais donné ne connaît l’autre,
Mais qui n’a jamais aimé ne connaît point l’amour.

Qui n’a jamais pleuré ne connaît son âme,
Qui n’a jamais écouté ne saurait entendre,
Mais qui n’a jamais aimé ne connaît point l’amour.

Entre les Cieux et la Terre, l’Homme.
Entre Dieu et les hommes, le Prophète.
Entre Dieu et le Prophète, le Coran.

Ô Seigneur ! Que la paix et le salut soient sur la perle de nos cœurs, l’alliance de nos mains, l’iris de nos yeux, la nacre de nos joies, le baume de nos plaies, la guérison de nos souffrances, la délivrance de nos erreurs.
Que le vent de Miséricorde souffle sur les Mondes…

Rabî’ al ûla 1433 ; Maroc, Dr Al Ajamî.

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