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NPNS recherche désespérément figurantes pour dimanche matin…

Le féminisme militant, sans NPNS pour le réduire à un grand barnum médiatique, souvent grotesque et toujours décomplexé (le ridicule ne tue pas !), et pour l’entraîner dans un néant idéologique abyssal, ne s’en portera que mieux, ou à tout le moins pas plus mal, sans se sentir le moins du monde amputé de l’un de ses membres essentiels !

Véritable coquille vide entièrement soumise au système, l’association à l’appellation racoleuse a gagné, au fil du temps, ses galons de féministes issues de l’immigration de pacotille, se faisant fort de ne briser que de faux plafonds de verre…

Attirées par les feux des projecteurs et les largesses gouvernementales, (80 000 euros de subventions sous Sarkozy, rien que ça !), les bons et loyaux services des « Ni Putes ni soumises », avec Fadela Amara en figure de proue mémorable, se sont résumés à stigmatiser leur communauté d’origine, l’islam et les musulman(e)s,  jusqu’au jour où elles ont chuté lourdement sur le tremplin de la vanité, du carriérisme, de la cupidité et de la malhonnêteté,  à l’instar de la présidente déchue Sihem Habchi.

Autant dire que quand les « Ni Putes Ni Soumises », enfin démystifiées, sont tombées en disgrâce, rares sont les féministes dignes de ce nom qui se sont faites leurs avocates. Mais voilà que les amazones du féminisme spectacle, inféodées à tous les pouvoirs, refont parler d’elles en exploitant leur seul talent : vampiriser le devant de la scène publique, dans un Happening aux airs de théâtre de rue, dimanche 25 novembre, lors de la Journée internationale de la lutte contre les violences faites aux femmes, à Beaubourg, à Paris.

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Quel fumeux concept vont donc sortir du chapeau celles qui ont contribué à banaliser, avec zèle, l’équation aux effets dévastateurs : islam = machisme = femmes soumises, battues,  violées… ? On ignore si les « Ni putes », mais infiniment plus soumises que la moyenne de leurs congénères, ont phosphoré longtemps avant de décider de maquiller et grimer, dimanche matin, 122 femmes en femmes battues, afin de les filmer vers midi en train de tomber dans la rue. Un vrai trait de génie !!

Le plus cocasse dans l’histoire est d’apprendre que NPNS a dû recruter d’urgence des figurantes, via une annonce officielle sur son site et un mail qui a circulé sur plusieurs listes de diffusion, preuve s’il en était besoin que ses rangs se sont bel et bien clairsemés et que le mouvement, porté longtemps au pinacle, n’est plus que grandeur et décadence !

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