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N’oublions pas les réfugiés syriens: l’histoire poignante de la petite Maya, née sans jambes

Ils ont le redoutable privilège de constituer la plus importante population de réfugiés au monde, près de quatre millions de ressortissants syriens, dont font partie la petite Maya Merhi et son papa, ont été contraints à l’exode pour ne pas subir les affres d’un conflit interminable et mortifère, aux multiples enjeux et intrications.
Un conflit dévastateur, qualifié de « tragédie humanitaire colossale » par Filippo Grandi, le Haut-commissaire des Nations unies pour les réfugiés (HCR).
https://www.facebook.com/oummacom/videos/1087499338085574/

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Un commentaire

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  1. Les réfugiés syriens peuvent légitimement se plaindre, leur pays est en guerre. Ils sont restés dans les pays voisins ou ont parfois pu émigrer en Europe. C’est un drame.
    Je n’ai jamais compris pourquoi les Palestiniens, éternels réfugiés pour d”innombrables générations à venir, n’émigraient pas chez les “pays frères”. Voire même en Europe qui de toute façon accueille tout le monde.
    Tout est question de finance. Je crois me souvenir que les Palestiniens consomment auprès de l’ONU et des différents contributeurs, dont les principaux sont l’Europe et les USA, environ la moitié de ce qui est accordé aux autres réfugiés du monde entier.
    D’ici quatre ou cinq générations, il faudrait quand même y mettre un peu d’ordre. On ne pas être “réfugié” de père en fils. C’est l’avenir qui compte.
    Le dire est un service à rendre aux Palestiniens, s’ils peuvent se dégager de l’emprise des groupes islamistes qui les vampirisent et vivent de leur malheur…

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