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Notre besoin de fraternité humaine à l’heure du Coronavirus

Alors que j’accompagnais le grand Imam d’al-Azhar au Vatican, lors de sa visite officielle auprès du Pape François, dans le palais pontifical où régnaient calme et sérénité, une scène fut particulièrement marquante.
Nous avions pris place à la table du souverain pontife en tant qu’hôtes d’honneur, quand ce dernier divisa en deux le morceau de pain qu’il tenait dans ses mains. Il en donna la moitié à l’Imam et prit l’autre moitié, afin que chacun puisse en manger une partie. Puis, le Pape François demanda à l’Imam de bien vouloir prier pour l’humanité et pour que prévalent le bien et la paix sur le mal, l’injustice et la guerre.
De son côté, le grand Imam d’al-Azhar demanda au Pape de bien vouloir prier pour les plus pauvres, les plus vulnérables, les plus miséreux d’entre les hommes, et notamment pour les réfugiés contraints de fuir leur pays ravagé par la guerre sur les routes de l’exode.
C’est au cours de ce moment très émouvant qu’est née l’idée d’élaborer le Document sur la Fraternité Humaine pour la Paix mondiale et la Coexistence commune. Il est né de la dure réalité de ce bas monde. Le meurtre, l’injustice, l’oppression, la peur, la pauvreté et la faim ne sont que les symptômes des maladies que sont l’antagonisme et la haine, et la résultante du désir de domination et d’asservissement des êtres humains.
Par conséquent, chaque tentative de traiter le symptôme sans connaître les véritables causes de la maladie est vouée par avance à l’échec. En fait, la portion de pain que l’Imam et le Pape partageaient ensemble était une sorte d’antidote à toutes ces maladies.
Ce partage de pain, hautement symbolique, entre l’Imam d’al-Azhar et le souverain pontife signifiait que nous, en tant qu’êtres humains, nous nous devons de partager l’amour, la bonté, la nourriture, la joie, le bonheur, les tourments et les souffrances. En d’autres termes, nous partageons la vie, n’est-ce pas là le vrai sens de la fraternité humaine?
En effet, toutes ces significations et valeurs ont été traduites dans le Document de la Fraternité Humaine, qui a été signé par l’Imam Al-Tayeb et le Pape François à Abu Dhabi, la capitale émiratie, en février 2019, sous le haut patronage, bienveillant et sincère, de Son Altesse Cheikh Mohammed bin Zayed Al Nahyan, prince héritier d’Abu Dhabi. L’objectif principal de ce document vise à prôner ces nobles principes humains et à ce que l’humanité tout entière les fasse siens.
Dans cette droite ligne, le Comité suprême de la Fraternité Humaine a été créé pour mettre en œuvre, sur le terrain, les grands principes valorisés par le document. J’ai l’honneur de chapeauter ce Comité, en ma qualité de secrétaire général, et je suis heureux d’annoncer que différentes initiatives concrètes ont été lancées en vue d’atteindre cet objectif suprême.
Malheureusement, moins d’un an après que le Document de la Fraternité Humaine a été rédigé et avalisé, l’humanité subit les assauts d’un nouvel et redoutable ennemi. Cet ennemi, appelé Covid-19, qui l’a prise par surprise, est en train de rouvrir des plaies que le document aspirait à panser, tel un baume précieux.
Ce virus des temps modernes s’est rapidement propagé à travers le monde, il frappe durement les plus faibles et tue impitoyablement les sans-abri. Il paralyse les transports, la vie sociale et déstabilise l’économie mondiale, et alors qu’il fait des ravages partout où il sévit, une question urgente vient à l’esprit : quel est notre besoin de fraternité humaine à l’heure, grave et tragique, du Coronavirus ?
Il est vrai que tous nos espoirs résident dans la solution médicale, seule capable de nous soulager du terrible cauchemar que nous vivons. Nous nous en remettons tous, avec confiance et admiration, au corps médical, aux médecins, infirmières et à l’ensemble des agents de santé, qui sont en première ligne dans le difficile et dangereux combat qu’ils livrent contre le Coronavirus. Et nul ne peut nier également l’importance que revêtent les mesures préventives, universellement en vigueur, pour limiter la propagation de la pandémie.
Dans ce tableau déjà très sombre, n’oublions pas une autre tragédie humaine : celle des millions de réfugiés, de personnes déplacées ou en proie à des conflits mortifères, dont les vies, plus que toutes les autres, sont exposées au danger mortel que représente le Covid-19. En raison de leurs conditions de vie désastreuses et sans avoir la chance de pouvoir bénéficier des soins de santé appropriés, des populations entières constituent des proies faciles pour le virus sans frontières.
Et le pire dans tout cela, c’est ce que l’émergence brutale de cet ennemi invisible a favorisé l’émergence de nouvelles formes de discriminations, particulièrement indignes et choquantes. En effet, qui n’a pas été révolté d’entendre des voix appelant à traiter en priorité certaines personnes et pas d’autres, qui n’a pas été écoeuré par celles qui exhortaient à tester des sérums sur des peuples spécifiques ? Tous ces appels sont proprement répugnants.
Il nous faut prendre conscience de l’importance de la fraternité humaine. Tout comme l’Imam et le Pape ont partagé ensemble un morceau de pain, le monde a plus que jamais besoin de partager de la nourriture, des médicaments, du matériel médical, des savoir-faire, des idées et des découvertes scientifiques, de créer des synergies par-delà les frontières avec des centres de recherche, à seule fin de devenir la propriété intellectuelle de toute l’humanité. Nous devons absolument abandonner les tendances individualistes et les approches racistes, et cesser de privilégier la logique du profit et le langage de l’argent à chaque instant, dans tous les détails de notre vie.
Lorsque nous le ferons, il ne fait aucun doute que nous surmonterons la crise sanitaire majeure à laquelle notre monde contemporain est confronté, avec le moins de pertes possibles. Nous serons, alors, mieux préparés et capables de surmonter toutes les crises qui pourraient survenir à l’avenir, et nous serons même en mesure de changer la réalité tragique qu’est la nôtre aujourd’hui.
La bonne question à se poser est la suivante : qu’avons-nous besoin de plus que de la fraternité humaine, à l’heure où un seul virus fait trembler la planète entière ? Je ne pense pas que la réponse nécessite une réflexion approfondie. Toutefois, si certains ont encore des doutes quant à l’impérieuse nécessité de donner la primauté absolue à la Fraternité Humaine, qu’ils réfléchissent alors à la fulgurante propagation du Covid-19 aux quatre coins du globe, et à l’extrême dangerosité qu’il représente pour tout être humain, sans distinction aucune de couleur, de religion, d’ethnie, de situation géographique… Le virus n’a non seulement pas de frontières, mais il frappe également aveuglément.

L’épreuve que le monde traverse est douloureuse, mais elle permet toutefois une prise de conscience salutaire : nous mangeons tous dans un seul morceau de pain… S’il est frais et bon, alors le monde et ses habitants seront bons. Si, par malheur, il est rassis et immangeable, alors le danger planera sur chaque être humain comme une épée de Damoclès.
Mohamed Mahmoud Abdelsalm
Secrétaire général du comité pour la mise  en œuvre des objectifs du document sur “La Fraternité Humaine pour la Paix mondiale et la Coexistence commune” et ex-conseilleur des affaires législatives au grand imam d’al-Azhar
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16 commentaires

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  1. Assalamou ‘alaïkoum, fraternité humaine à l’heure du Covid 19, pourquoi spécialement? Ah c’est parce que c’est une épidéie qui a l’indécence de s’attaquer à des pays riches, ah oui j’ai tout compris! Prier contre la guerre et tout ça aux émirats-unis qui sont faiteurs de guerre en le sachant pertinemment, la rencontre étant organisée par le belliciste émir Mohammed Ben Zeyed, non, il y a des limites à l’indécence. Est-ce que l’émir héritier d’Abou Dhabi et des émirats-unis a pour cela fait cesser les ingérances de son pays au Iémen, en Lybie et autres lieux? Non, apparemment pas. Quant au cheikh d’Al-Azhar qui en égypte a la charge ordinaire des peines de morts qu’il confirme ou qu’il commue, pays ou des milliers de gens souffrent dans les geôles de la tyrannie et d’autres sont disparus, je demande à voire. Le pape de Rome François qui a validé comme président au Vénuzuéla l’opposant d’extrême-droite sustenté par l’Amérique et parfaitement poutchiste, le pape de Rome pouvait s’en abstenir alors laissez-moi rire ou pleurer, ce n’est pas ainsi qu’on brouillera la lucidité du Croissant de lune.

    • Croissant de lune : La couronne a eut l’ indécence de s’attaquer aux pays riches, poses un peu, ton regard naïf, sur l’ Iran, L’ Inde, mais c’est vrai, que tu as du mal, a distancier les choses, parce que sinon, tu saurais, qu’un pays dit riche, est les trois quart du temps, peuplé d’une population pauvre, les clichés, ont la peau dur, lol
      En plus, tu cognes sans vergogne, sur tes frères de oumma, rien ne t’ arrêtes, ta haine, est carrément mondiale, les Juifs, les Occidentaux, les Royaumes du moyen orient, t’ aimes tu toi même ?
      grande question, tu n’y a pas encore pensé, normal, en nourrissant de la haine pour tout ce qui t’ entoure, tu oublis de te regarder, mais les autres, eux te voient, et, se désolent de ton cas , lol

  2. Cette fraternité n’a aucune réalité.
    Les gouvernements ont toujours besoin d’un ennemi pour unir les gens.
    Le virus n’est pas un ennemi, c’est naturel.
    L’ennemi est cette manipulation génétique sous toute ses formes.
    En 1953, on a greffé une tète à un chien. Un chien qui avait deux tètes n’a pas survécu.
    On veut changer la création d’Allah.
    Traduction sourat les femmes, verset 119
    “Certes, je ne manquerai pas de les égarer, je leur donnerai de faux espoirs, je leur commanderai, et ils fendront les oreilles aux bestiaux; je leur commanderai, et ils altèreront la création d’Allah. Et quiconque prend le Diable pour allié au lieu d’Allah, sera, certes, voué à une perte évidente”.
    Et en plus on dira que Satan un ennemi virtuel.
    Les anges incitent l’homme à faire le bien.
    Satan incite l’homme à faire le mal.
    L’homme reste influencé par ces deux forces opposées.

    • “Cette fraternité n’a aucune réalité” pour les gouvernements sans doute. Pour les individus je pense que vous avez complètement tord, et je prend pour exemple les élan de solidarité systématique vis a vis de chaque population frappé par une catastrophe naturel ou autre.
      De plus, je vous invite à faire attention à ce qui compose la vie de tout les jours, faite la part entre tout ce que l’on reçoit et donne gratuitement d’un côté, et ce que l’on paye. Le dont l’emporte à 1000 contre 1. Qu’on le veuille ou non, on est solidaire les uns des autre, on a pas le choix.

  3. La fraternité n’est pas dans la verticalité. Il n’y a pas de fraternité dans les systèmes de domination, même habillés de bonnes intentions. Ou bien ce sont des fraternités alliées dans la domination, donc nuisibles (qui finit par exemple en fraternité dans l’abus sur les corps des enfants, ou dans l’abus sur les esprits des adultes).
    Fraternité et sororité doivent aller ensemble, et seulement entre personnes honnêtes. Songeons à la raison pour laquelle dans la salat, il ne faut pas laisser d’espace entre les fidèles.

    • Bien dit. Mais j’ai toujours aimé les bisounours. Ça reste rafaîchissant. Du moment qu’un clergé distribue du pain et pas des pains, on peut voir cela comme une entreprise de bienfaisance, du genre : moi ton haut patron du haut de ma pyramide, je suis trop bon, je te donne du pain mais je garde l’or pour mes parures.
      La pédérastie est propre à la culture grecque. Elle n’est pas uniquement cléricale mais ce problème est comme le racisme i.e. ancré à la philosophie et à la culture grecques. Il n’y a rien d’étonnant à ce que cela soit encore pratiqué. Certains oseront même faire la différence entre pédérastie et pédophilie. Avant, c’était un passage obligatoire vers l’âge adulte : c’est juste horrible quand on y pense. De nos jours, beaucoup ont compris les dégâts que cela faisait, enfin, mais continuent à aduler la philosophie et la culture grecques : allez comprendre.
      C’est comme la misogynie grecque, elle est antique !

      • La pédérastie dans la Grèce antique n’avait rien à voir avec la pédocriminalité des prélats et autres adultes qui la pratiquent comme on pratique le crime, de façon cachée, dans le mensonge et la pression sur les victimes pour garder le secret. Il s’agissait d’une pratique très encadrée, entre un maître et un disciple au moins adolescent (pas enfant), propre à un certain milieu élitiste.
        Mais en effet elle avait bien à voir avec la misogynie, comme aujourd’hui dans tout le pourtour méditerranéen, quelles que soient les religions qui s’y pratiquent. Quand les femmes sont taboues…

        • Cela vient de là pourtant. C’est très culturelle ET cultuelle. C’est quand même fou de nier l’évidence. Les prêtres pratiquent une religion greco-latine je rappelle. Et non, ce n’était pas réservé à l’élite.
          Les religions du pourtour méditerranéen, oui, sauf l’islam. Je rappelle que la femme a le droit à une bourse, un contrat de mariage égalitaire et un héritage depuis 14 siècles en islam. Cf le Noble Coran. Dans la chrétienté , elle n’a juste pas d’âme, du moins on s’interroge, et notamment en France, cela fait combien de temps que vous pouvez acheter quelque chose et gagner votre pain ? 60 ans ? 70 ans ?
          Les femmes sont taboues ? Dans le christianisme, certainement, mais prière de ne pas confondre avec l’islam. Quant aux grecs, n’en parlons même pas, soyez juste heureuse de pas avoir rencontré Socrate. Si ce dernier a réellement existé, vu qu’on en sait rien. En tout cas c’est sûr, Démocrite vous aurait ôté toute citoyenneté. Sauf que là encore, rassurez-vous, il s’agit plus d’un mythe, un personnage fabriqué, vu qu’on ne sait pas s’il a réellement existé.

          • Salam mon frère Kalim, non, tu exagères un brin quand-même. L’absence de la preuve n’est pas la preuve de l’absence, pourquoi eut-on inventé Socrate? Il y a des auteurs cités et connus à travers d’autres auteurs, parce que leur propre livre a disparu mais c’est pas une preuve de l’inexistence initiale de l’oeuvre ni du personnage.
            Quant à la femme tabou ou éloignée, c’est évident dans Platon, on se demande à quoi servaient les femmes sauf de moyens reproducteurs. Dans le banquet de Platon pas une femme n’est conviée, on dirait même pas pour le service. Alors je me souviens plus du nom de l’hôte, du maître du banquet mais il était dirait-on hédoniste et libertaire, il se vantait de laisser ses esclaves servir à leur gré dans le désordre, donc le dessert avant la viande, très libéral dirait-on, pourquoi ne servait-il pas lui-même?
            Alors la pédérastie dont tu parles, ça semble être une institution, elle est instituée, entre un maître et dirait-on un élève adolescent. Platon voulait semble-t-il la rendre obligatoire entre hommes faits et jeunes gens formés en couples pour se porter mutuellement secours dans les batailles, et puisque chacun des deux ferait l’impossible pour l’autre alors pour Platon la cité qui en agirait ainsi se dotterait d’une force militaire supérieure.
            Il m’arrive de me demander si le mal de Sodome ville nommée dans la Bible et dans le noble Coran n’est pas en fait l’institution d’une hommossexualité obligatoire, imposée aux gens de passage. Parce que si c’était pure inclination, la ville n’eut pas existé, donc ils avaient bien des femmes tenues à distance dans la fonction strictement reproductrice et on va dire asservies, donc pas la même chose que l’hommossexualité cont on parle aujourd’hui mais il y a longtemps que je demande à Oumma un article sur ce thème. Il y a bien un équivalent féminin, les Amazones, des guerrières cavalières qui paraît-il se brûlaient le sein gauch”e pour mieux tirer à l’arc, elles devaient avoir quelques esclaves reproducteurs il me semble, sinon terminé.
            Alina connaît presque certainement la mythologie et d’autres choses, elle est romancière, gauchiste apparemment engagée et très gilet jaune. Mais demandes-lui ce qu’il faut faire après le confinement eu égard aux dommages économiques, je suis pas sûr qu’elle ait les pieds suffisamment plantés en terre pour te répondre. Demandes-lui que faire des 130 milions de gens en plus qui sont menacés de famine suite à l’épidémie et donc que faire des conséquences économiques de l’épidémie démesurément plus mortelles que l’épidémie elle-même, elle sera en peine de répondre sauf qu’il faut qu’on soit tous frères et autres baratins. Si nous étions vraiment frères et sœurs puisqu’elle tient à la sororité, bon pour commencer on ne se préoccuperait pas de fraternité particulièrement à l’heure du Covid 19, cet article fallait oser le publier sur Oumma, y a-t-il beaucoup de fraternité aux émirats-unis? Je me le demande.
            Voilà que tout à coup elle trouve du bien à la disposition des fidèles Musulmans dans la prière collective, pourtant la mosquée enfin lieu de temps de prière dont elle a dit grand bien les gens n’étaient qu’assis, si je me souviens bien. Oui, comme dans une salle de conférence, dans une église d’aujourd’hui quoi. Sans séparation des sexes ni des genres mais à condition de na pas en abuser ni harceler parce que ça doit être un endroit où se trouve des gens qui guettent la moindre occasion pour se plaindre de harcèlement en justice, donc tu fais rien mais on te trouve quelque chose quand-même, raison suplémentaire de ne pas les fréquenter, je ne sais où elles en sont maintenant. Sur France-Culture, l’une des responsables a tenu des propos différents de l’article publié ici sur ce site, l’article semblait ne pas exclure le voile des femmes, mais cette responsable-là m’a donné l’impression de ne le tolérer qu’à grand-peine, enfin en gros, elles n’ont pas osé interdire le voile dans leur salle aujourd’hui confinée.
            Enfin, cet article est à peine croyable, oui, parlons-en de la fraternité universelle, ça coûte pas cher d’en remettre une couche.
            Croissant de lune.

        • Ne vous inquiété pas, le K fait cette effet là à presque tout le monde….il faut le prendre pour ce qu’il est : un bouffon. Ensuite seulement vous pouvez lire ses posts et bien vous amusez.
          ps : le K ici présent crois dur comme fer que les philosophes grec n’ont tout simplement jamais existé, et que c’est une complot des grand méchant occidentaux pour voler l’apport des très gentil arabe-andalou-toutparfait (garanti 0 défaut). Mais évidement les défaut des grec eux ont bien existé. La logique est simple : 1-c’est bien, c’est moi 2-c’est mal, c’est toi.

  4. Un virus plus important que COVID’19 ……. le droit du VETO pour certains pays dans cette OPM (Organisation des Puissances Mondiales). C’est ce droit qui fait que des pays n’ont pas encore eu accès à leurs indépendances, c’est ce droit qui appuie des lobbies de tout secteur confondu si bien que l’écart riches – pauvres ne cesse de s’élargir, sans compter ce qui engendre comme guerres, comme mal sur la santé du citoyen lambda (lobbies pharmaceutiques tels que BIG PHARMA et Cie, lobbies agro-industriels tels que MONSANTO, vendeurs d’armes, de tabac, etc.).
    Le jour où “le virus” VETO sera éradiqué par un remède approprié (manifestations pacifiques internationales appuyées par des entités morales et physiques connues), il y’aurait alors moins de racisme, moins de misère, moins de guerres, moins de gilets de toutes couleurs confondues, moins de pollution, meilleurs environnement et écologie, etc. Ce jour-là, on débattrait alors quelques problèmes de moindre envergure dans une …. Organisation de Nations Unies, digne de son nom. I have a dream …. continuons le combat mené par de valeureuses personnalités telles que le défunt Martin Luther King.

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