in

Michel Houellebecq appelant “à une guerre civile pour éliminer l’islam” : choquant mais pas très surprenant…

Michel Houellebecq, l’islamophobe vaniteux de la littérature française, qui est à lui seul un repoussoir bien plus effrayant que le voile empoigné en épouvantail de la République, aurait l’alcool mauvais, séditieux et terriblement anti-musulmans. Qui l’eût cru ?

Cet éternel provocateur, très lu en dehors de nos frontières, dont la prose sombre dans la vulgarité quand il crache son venin sur l’islam « la religion la plus con, c’est quand même l’islam », dixit ce multirécidiviste intouchable de la diffamation envers la deuxième religion de France, se serait déchaîné lors d’un repas bien arrosé avec son ami et traducteur Gavin Bowd.

Selon l’anecdote, peu reluisante, relatée par l’universitaire écossais dans son dernier ouvrage « Mémoires d’outre-France », dont certains extraits ont été publiés par L’Obs le 7 septembre, Michel Houellebecq, grisé par des effluves alcoolisées, a révélé le vrai fond de sa pensée dans le confort de son appartement du 13ème arrondissement de Paris : « Je vais donner une interview où j'appellerai à une guerre civile pour éliminer l'islam de France. Je vais appeler à voter pour Marine Le Pen ! », a-t-il lâché encore plus décomplexé que d’ordinaire.

Si son obsession de l’islam ne vient qu’en second, juste après son obsession du prix Nobel de littérature, comme le précise Gavin Bowd, elle accapare toutefois toutes ses pensées, même très imbibées de liqueurs enivrantes, lui inspirant un langage de charretier et une proximité idéologique avec le FN, jusqu’à idéaliser ou édulcorer sa nature profonde…

Non, le parti placé sous la férule de la dynastie Le Pen n’est pas un parti d’extrême droite, aurait répété Houellebecq lors de cette soirée où l’alcool a coulé à flots, toujours selon Gavin Bowd, produisant ses puissants effets désinhibants sur l’écrivain à qui l’on doit le livre « Soumission », dans lequel le chef d’un parti islamiste accède au pouvoir en France en 2022. Etait-il à jeun ou pas quand il a laissé sa plume vitriolée courir sur la page blanche contre sa bête noire, l’islam, l’histoire ne le dit pas…

Publicité
Publicité
Publicité

 

 

                

Publicité
Publicité
Publicité

Un commentaire

Laissez un commentaire

Laisser un commentaire

Chargement…

0

Les clichés sont faits pour être retournés (vidéo)

A Rafah, les Palestiniens sont entassés comme des animaux.