Au Maroc, et plus largement au Maghreb, les violences contre les femmes sont de plus en plus dénoncées. Le 13 janvier 2018, le site marocain en langue arabe Hespress a diffusé le témoignage terrifiant de Khadidja, dont le visage a été tailladé par son mari avec un rasoir pour avoir seulement déclenché une procédure de divorce. Un acte juridique insupportable pour ce mari violent et lâche, qui a cru que son épouse Khadidja était “sa propriété” et qu’elle lui devait soumission et obéissance. Dans la vidéo ci-dessous, elle explique les faits de cette agression intervenue juste après sa descente du bus, et qui visait également son cou.
Elle n’aurait pas dû épouser un homme musulman, et en plus issu de la société traditionnelle. Mais bon, dans ce genre de société, le choix est restreint.
Cela m’as toujours choqué un homme qui frappant une femme veux faire croire qu’il ait un homme , mais cette fois c’est encore plus grave … De qu’elle droit il la balafré ? Je n’aimerais pas être à sa place le jours du jugement dernier ! Que Dieu vienne en aide à cette Pauvre femme.
Puisqu’il est justement question de mariage civil sur l’autre fil, il serait peut-être temps qu’une loi vienne imposer au maire d’exiger un certificat psychiatrique avant d’autoriser l’union. On ne marie pas un fou furieux, on le soigne si on peut et on l’interne s’il le faut.
oui alors méfiez vous parce que:
1/ si vous lisez le DSM 5, à peu près TOUT est une maladie psychiatrique!
2/ Pour avoir lu un grand nombre de vos post, je ne suis pas certain que vous rempliriez les critères pour qu’un(e) petit(e) veinard/veinarde partage votre vie
Il est même possible qu’il soit trop tard pour des soins?
Je dis ça hein, mais bon hein
C’est pas des bonshommes ça , c’est des tapettes qui jouent les gros bras avec les femmes en pensant que celles-ci sont leur propriétés . Faut les foutre en taule des types pareils !
Attention si vous dites du mal sur les “tapettes” vous pourriez être accusé d’homophobie explicite.
Sabi, ces hommes ne font que se comporter en musulmans traditionnels.