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Mahmoud Abbas, chef de file réélu du Fatah sous les critiques

Parasité par des joutes générationnelles mouvementées, le congrès du Fatah qui s’est tenu dans la ville de Bethléem, en Cisjordanie, en présence de 2 000 délégués, a, en dépit d’un bilan général très attaqué, faisant planer l’ombre de la corruption, et d’une jeune garde aux dents longues, appelant de ses vœux un nécessaire renouveau, reconduit à l’unanimité Mahmoud Abbas aux commandes du parti.

Successeur de Yasser Arafat, père fondateur et figure historique du Fatah, Mahmoud Abbas a certes retrouvé un fauteuil, objet de toutes les convoitises, mais dans un climat particulièrement séditieux qui a fait éclater au grand jour de fortes aspirations réformatrices internes, amplifiées par le revers cuisant des législatives de 2006 remportées haut la main par le Hamas.

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Donnant lieu à l’élection d’un nouveau Comité central composé de 21 membres et d’un Conseil révolutionnaire de 120 membres, nul doute que les grands axes du futur programme politique concocté par le leader de l’Autorité palestinienne seront attendus au tournant, Nabil Chaath, membre de la garde rapprochée de Mahmoud Abbas, soulignant la priorité donnée au « droit du peuple palestinien à recourir à la résistance dans toutes ses formes pour recouvrer ses droits ».

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