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Les pèlerins étrangers heureux de retourner à La Mecque pour la Omra

A peine ont-ils foulé le sol de la Terre sainte, le 15 août dernier, qu’un bonheur indescriptible a envahi leur être tout entier. Les premiers groupes de pèlerins en provenance de l’étranger à avoir été autorisés à accomplir la Omra, au terme d’une attente interminable longue de 18 mois, en sont intimement convaincus : ce petit pèlerinage, si fébrilement espéré, restera à jamais gravé dans leur mémoire.

Issus des quatre coins d’un monde entièrement chamboulé par un virus mortifère, qui continue de se jouer des frontières, ils pressentent déjà que cette reprise de la Omra, au cœur d’un royaume saoudien qui rouvre prudemment ses portes et celles de ses prestigieuses mosquées, leur laissera un souvenir impérissable.

Munis de leur attestation de vaccination certifiée, ce précieux sésame obtenu dans leurs pays respectifs prouvant l’immunité que leur confèrent les vaccins Pfizer-BioNTech, AstraZeneca, Moderna et Johnson & Johnson, approuvés par l’Arabie saoudite, ces pèlerins s’estiment privilégiés.

Tout en se laissant imprégnés par l’atmosphère unique, emplie de ferveur, qui règne dans les hauts lieux saints de l’islam, à La Mecque et à Médine, ils sont heureux de partager leur émotion avec la presse locale, ne tarissant pas d’éloges envers les autorités saoudiennes pour leur accueil et leurs prestations de qualité.

Abdulfattah bin Sulaiman Mashat, vice -ministre du Hajj et de la Omra

« Les efforts du royaume pour favoriser le séjour des pèlerins, et en faire un moment mémorable, sont manifestes. Je peux en témoigner, comme tant d’autres de mes coreligionnaires », a confié le très reconnaissant Ishfaq Iqbal, installé aux Etats-Unis.

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A l’unisson, l’Algérien Abdul Majid Al-Jazaaeri, après avoir exprimé ses plus vifs remerciements, a salué la mise en place de chariots pour les personnes les plus vulnérables, ayant des difficultés à se mouvoir, qu’elles soient âgées, fragilisées par une santé précaire ou un handicap.

Ces compliments unanimes ont dû réjouir le grand ordonnateur de cette nouvelle saison de la Omra : Abdulfattah bin Sulaiman Mashat, le vice-ministre du Hajj et de la Omra. Une nouvelle saison en Terre sainte que rien ne saurait assombrir, pas même une pandémie dont la recherche internationale n’a toujours pas trouvé le talon d’Achille.

 

 

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