Il y a six mois, les Taliban prenaient le pouvoir à Kaboul et balayaient sur leur passage vingt ans de progrès en matière de droits des femmes. Aujourd’hui, la population souffre de famine. Les nouveaux maîtres du pays réclament de l’aide humanitaire, mais pour l’heure les principaux bailleurs de fonds exigent plus de garanties pour les Afghanes. L’éducation et l’emploi leur sont en grande partie interdits, plus aucune n’est libre d’agir sans l’aval d’un homme.
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