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L’Egypte s’émerveille devant une jeune cavalière, experte dans l’art du dressage

Elle ne murmure pas à l’oreille des chevaux, mais elle a créé avec eux un lien exceptionnel dès l’âge de neuf ans, Abir Magdy est une adolescente prodige du dressage qui n’en finit pas d’émerveiller l’Egypte, à chacune de ses prestations élégantes, et souvent même époustouflantes, lors des cérémonies de mariage.
Du haut de ses 15 printemps, la jeune cavalière émérite et intrépide n’est jamais aussi à l’aise que quand elle enfourche sa monture et la fait évoluer en rythme, au son de l’instrument de musique traditionnel, le mizmar, sous le regard attendri de son père, son premier soutien mais aussi initiateur à l’art équestre, qui lui a transmis très tôt l’amour du cheval en héritage.
En l’espace de quelques années, à mesure que sa complicité avec le meilleur ami de l’homme s’est renforcée, lui permettant de démontrer toute l’étendue de son talent dans une discipline particulièrement exigeante, Abir Magdy a acquis une notoriété grandissante qui a dépassé les frontières de Belqas, sa ville natale, et du gouvernorat de Dakahlia où elle est érigée en gloire locale.
Croulant sous les sollicitations pour être le clou du spectacle des mariages, la virtuose égyptienne du dressage a dû former et recruter trois autres jeunes cavalières prometteuses, non sans avoir reçu préalablement l’aval de son père, un éleveur de chevaux réputé.
En effet, celui-ci a l’art de détecter au premier coup d’œil les recrues de choix, celles qui sauront parfaitement monter à cheval, mais aussi et surtout seront à même, grâce à une relation unique développée avec l’animal, d’obtenir de lui des instants de pure magie.

 
 

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