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Le Pèlerinage : ses secrets et ses symboles

Les activités du Pèlerinage peuvent être interprétées par un ensemble d’images et de symboles. Chaque acte d’adoration a une signification particulière et un goût déterminé, une couleur dans le monde « apparent » et une saveur dans le monde « caché ».

Il convient au pèlerin, pendant l’accomplissement de son pèlerinage, d’ouvrir son coeur, de chercher, au-delà des apparences, l’aspect intérieur, la science « ésotérique ». Rares sont les savants qui ont abordé ce sujet dans leurs écrits, et encore plus rares, ceux qui l’ont traité tout en restant fidèles à l’esprit de la Sharia : la norme.

Il importe donc d’exposer les secrets du Pèlerinage en les méditant afin de bien tirer profit des souffles de la Miséricorde divine. Vous découvrirez que le passage continuel du plan physique au plan spirituel se fait aisément lorsqu’ on évoque le pèlerinage.

Ces symboles1 seront exposés ci-dessous en fonction des étapes du Pèlerinage pour mettre en exergue la dynamique de la progression vers Dieu.

– Première étape : Comprendre le sens profond du Pèlerinage et de sa place dans le culte de l’islam : Dieu a institué ce cinquième pilier afin que l’Homme se détache de tout ce qui est hormis Lui en se consacrant à son adoration. Tant que l’Homme est attaché à sa nature bestiale et noyé dans les illusions de l’éphémère et des désirs, il ne pourra cheminer vers Dieu.

– Deuxième étape : Après avoir pris conscience de la valeur du Pèlerinage et de la portée qu’il aura dans son cheminement vers Dieu, alors un sentiment de nostalgie s’accapare de son cœur. Cette volonté d’aller à la rencontre de la Maison de Dieu n’est autre, au niveau du cœur, qu’un désir de la rencontre du Maître de cette Maison. Ce désir ardent apporte à son cœur une extraordinaire consolation, l’emplit de satisfaction et entretient son espoir. Quand bien même il rencontrerait en ce monde le découragement à chaque pas, que tout serait obstacle à ses desseins, que tout viendrait à lui manquer, sa foi en Dieu et sa confiance en Lui ne le quitteront jamais. C’est avec leur réconfort qu’il prépare son voyage.

– Troisième étape : Rectifier son intention en tentant à travers le Pèlerinage d’atteindre la satisfaction de Dieu Seul et non pas le regard des créatures sur toi. Le Prophète (BSSL2) affirme : « Il y a trois actes par lesquels le cœur du croyant ne se corrompt pas  : « vouer sincèrement ses actes pour Dieu, conseiller les responsables et ne jamais quitter la communauté des musulmans »3.

– Quatrième étape : Se repentir sincèrement pour ne pas connaître la honte en arrivant à Sa maison en serviteur encore désobéissant. Il convient donc de se faire pardonner auprès des personnes pour les injustices commises à leur endroit. Il s’agit également de se débarrasser de toutes nos idoles, pour pouvoir se tourner vers Dieu. Le repentir a pour objectif la pureté du cœur afin qu’il soit réceptif à la lumière divine.

– Cinquième étape : Se rappeler, au moment de la préparation du voyage, le long voyage vers l’éternité. Que le seul approvisionnement valable est la piété (Attaqwa). Dieu affirme dans le même verset qui parle du Pèlerinage : « Et approvisionnez -vous, mais vraiment la meilleure provision est la piété »4.

– Sixième étape : Se souvenir au moment de quitter sa famille et sa ville, du voyage sans retour vers l’autre Vie. L’Imam Ghazali ajoute ceci5 : « Aussi, pendant les difficultés du voyage (Pèlerinage) faut-il se rappeler les difficultés et les supplices de la tombe, et à chaque danger faut-il se remémorer le questionnement des deux anges : Mounkir et Nakir ».

– Septième étape : Au moment de se mettre sur la monture, se remémorer la planche sur laquelle on sera porté lors de son propre convoi funèbre. Le Pèlerinage est différent de n’importe quel voyage.

– Huitième étape : Lors de l’achat de l’Ihram, se rappeler le linceul dans lequel sera enveloppé le cadavre après la mort. En effet, ces vêtements sont des pièces de tissus blancs non cousues : ce sont des vêtements fort différents de ceux que les gens portent dans la vie courante.

– Neuvième étape : l’état de l’Ihram rappelle l’Heure (As-Sa’a) quand l’ange soufflera dans le cor, le jour du Rassemblement, où tous les êtres après avoir été ressuscités, seront acheminés vers le plateau du Tribunal divin.

L’annihilation de l’ego humain se matérialise bien évidemment dans ce Ihram qui rappelle la simplicité et le dévouement à Dieu. C’est une très haute station de la foi que de se consacrer à Dieu en venant pauvre, esclave6 dénué de toute chose de la vie terrestre.

Le pèlerin prononce ensuite la talbiya se rappelant l’appel d’Abraham7. Avec la talbiyya, il rejette toutes les fausses divinités et proclame qu’il est une créature de Dieu, l’Unique. A ce moment, toute la terre rentre en résonance avec ce cri de profondeur : Le Prophète (BSSL) a affirmé « Nul pèlerin ne prononce la talbiya (formule que nous allons évoquer plus loin) sans que les pierres, les arbres ou les mottes de terre se trouvant à sa droite et à sa gauche ne prononcent eux aussi la talbiya jusqu’aux confins de la terre »8.

– Dixième étape : En arrivant à la Mecque, Il faut savoir que l’on arrive à l’endroit le plus sacré du globe terrestre, le « centre de la terre »9, « la Mère des cités »10 où Dieu a fixé Son « rendez-vous ». Cette invitation est un honneur et un grand hommage. Il convient de remercier Dieu de faire partie des hôtes bien accueillis de Sa maison où descendent, sur les cœurs, les faveurs divines. Le musulman doit se tenir devant la porte de Dieu avec une grande humilité et une pudeur infinie pour une appréhension directe de la lumière divine par le Cœur, centre subtil de l’Etre.

– Onzième étape : Au moment de jeter le premier regard vers la Ka’aba11, on doit se remémorer la grandeur du Seigneur du sanctuaire. Contempler plein les yeux la grandeur de Sa maison sacrée en tirant pleinement profit de son ambiance spirituelle irremplaçable12. En vérité, le pèlerin va à la rencontre du Seigneur de la Maison Sacrée et non pas à la rencontre de la Maison elle-même. Le Prophète (BSSL) indique : « Les pèlerins et ceux qui accomplissent la Oumra sont les hôtes de Dieu, s’ils Lui demandent, Il exauce leurs demandes ; et s’ils Lui demandent le pardon, Il leur pardonne »13.

– Douzième étape : Se rappeler lors de la circumambulation (tawaf) que l’on fait que reproduire les tournées incessantes des anges de la proximité autour du Trône14. Aussi faudrait-il rappeler que l’objectif du tawaf est le fait d’arriver à un point où le cœur processionne autour de la spiritualité divine.

Au cours de cette gravitation, les intentions sont centrées sur Dieu, les intérieurs vibrent d’une lumière intense et encore plus si l’on se rapproche de la Ka’aba15.

C’est un spectacle impressionnant que de réaliser que la gravitation circulaire incessante des pèlerins autour de la Ka’aba ne s’arrête jamais, jour et nuit ; de même que les cinq prières dans tous les coins du monde.

– Treizième étape : Embrasser la pierre noire16, tient lieu d’un pacte d’allégeance donné à Dieu pour se vouer entièrement à Lui. Se rappeler par conséquent que la pierre sera témoin le jour de jugement en faveur des pèlerins ou en leur défaveur. La Pierre était un diamant éblouissant de lumière lorsqu’elle était descendue du Paradis puis est devenue progressivement noire du fait de l’idolâtrie et des péchés des humains.

Lorsque Omar Ibnou Al-Khattab a embrassé la pierre noire, il a beaucoup pleuré en affirmant à ‘Ali Ibnou Abi Taleb : « Ô Abou Hassan ! C’est ici où les larmes se versent et les prières s’exaucent ». Ensuite Ali précise : « Quand Dieu a eu le pacte d’alliance de la descendance d’Adam. Il l’a écrit et l’a déposé dans cette pierre et depuis, elle témoigne la fidélité pour le croyant et l’ingratitude pour le mécréant »17.

– Quatorzième étape : Faire des implorations et des supplications pour tous les péchés antérieurs, en se collant à la Ka’aba à l’endroit appelée Moultazam, entre la pierre noire et la porte de la maison sacrée.

Ensuite, le pèlerin fait deux raka’ates derrière la station d’Abraham (maqam Ibrahim) et renouvelle ainsi sa liaison du cœur et d’esprit avec son grand-père et le grand-père de tous les Prophètes (Abraham). C’est lui qui, avec l’aide de son fils Ismaël, a construit la Ka’aba à sa position actuelle. Un rocher y conserve les empreintes du pied d’Abraham jusqu’à nos jours malgré les inondations et l’alternance des jours. Il illustre, d’une manière ou d’une autre, le miracle que Dieu procure lorsque l’on œuvre dans sa voie.

Le pèlerin cherche à s’abreuver de la source Zamzam qui jaillit encore de nos jours. Zamzam est située à côté de la Ka’aba et abreuve toujours les hôtes de Dieu. Il convient de profiter de cette grâce et de ce don divin pour demander à Dieu le Tout puissant d’étancher sa soif le jour de jugement et combler sa quête du divin, car les implorations sont exaucées.

– Quinzième étape : Se rappeler la fluctuation de la balance de Dieu, au tribunal du jour dernier lors de la marche entre Safa et Al-marwa. Le mot Safa signifie la pureté, il ne faut pas hésiter à demander au Seigneur la pureté de l’âme.

– Seizième étape : Le jour de Arafat, se rappeler la terre de la résurrection et l’espoir des humains dans l’intercession des Prophètes. Raviver la conviction que tous les musulmans forment une seule Oumma, tous égaux et qu’ils méritent l’amour et la sympathie. Dans ce métissage des voix, des corps et la symbiose des âmes, il n’y a plus de « peuples supérieurs » et de « peuples inférieurs ».

Quelle bonne compagnie que d’être avec des hommes humbles et des saints au cœur pur dans un moment béni et en un lieu noble. Dans cet état sublime, sous l’ombre de la Miséricorde divine, il convient au fidèle de diriger ses demandes et ses implorations au Seigneur Majestueux qui voit les pleurs de ses esclaves, et entend les voix qui s’élèvent avec toutes les langues du globe terrestre. L’un des secrets du Pèlerinage, selon Al-Ghazali, réside dans ces instants de communion des pensées, et des invocations qui sont adressées à Dieu lors de la Station à Arafat.

Le Prophète (BSSL) a précisé quand il était à Arafat : « Ô Musulmans ! L’ange Gabriel est venu me voir et m’a transmis le salut de la part de Mon Seigneur et m’a dit : « Dieu a pardonné à ceux qui sont présents à ‘Arafat et à Al-Mach’ari-Al-haram ». Et à Omar de demander : « Ô Prophète ! ceci est pour nous spécialement ? » et le Prophète (BSSL) de dire : « Ceci est pour vous et pour ceux qui viendront après vous jusqu’au jour de la résurrection » et Omar de dire : « Qu’ils sont nombreux et magnifiques les bienfaits de Dieu ! »

Des récits affirment qu’Adam et Ève, chassés du paradis, se retrouvèrent à des endroits différents et se seraient rencontrés à nouveau, ou reconnus à Arafat – du verbe ta‘arafa ou ‘arafa18 en arabe qui signifie se reconnaître -Ainsi, à ce jour, le pèlerin reconnaît ces défauts, son état et son ego passionnel.

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– Dix-septième étape : En jetant les pierres à Mina, il convient de se rappeler que c’est un symbole d’obéissance à Dieu et une sorte d’imitation sympathique au Prophète Abraham qui a lapidé Satan en plusieurs reprises à trois endroits différents.

Le terme Mina provient du mot arabe Al-Mouna, signifiant « ce à quoi aspire l’homme ». Il convient de ne pas perdre de vue son désir premier et sa prime motivation : chercher l’amour de Dieu et contempler Sa Face (Wajha allah).

– Dix-huitième étape : Se rappeler lors du sacrifice que l’on se rapproche de Dieu avec cet acte et espérer la délivrance de l’Enfer, sans perdre de vue qu’il faudrait en vérité sacrifier son nafs (ego passionnel) pour arriver à Dieu.

– Dix-neuvième étape : Lorsque l’on atteint la ville sainte, on y trouve une atmosphère empreinte de piété et de vertu. On visite les lieux qui témoignent de la gloire de l’islam et laisseront leurs traces dans l’esprit de chacun. Humer l’air que le Messager de Dieu respira. Quelle belle ville Médine, hélas ! Le lieu où la révélation est descendue et l’endroit où a vécu le Prophète (BSSL) ainsi que ses compagnons19. Avoir une certaine amertume d’avoir raté la compagnie du Prophète et de ses compagnons en souhaitant rencontrer ses héritiers vivants. La main secourable des serviteurs de Dieu, amis de Dieu et modèles accomplis, sont les points d’attache servant d’amarre au bateau de la vie en détresse.

– Vingtième étape : En visitant cette mosquée, se rappeler que l’on est à l’endroit qui contient le corps béni du Prophète (BSSL), le meilleur être humain sur terre, savoir le saluer avec humilité et vénération car il entend20 et reconnaît son visiteur. Ne pas manquer de faire énormément de bénédictions et salutations. Il s’agit d’avoir accès à cette réalité spirituelle du Prophète Muhammad en s’imprégnant de sa lumière pour détacher la soif de l’âme. Ne pas manquer de faire des prières au lieu nommé « jardin du paradis » qui se trouve entre sa tombe et sa chaire. Ne pas oublier enfin de demander à Dieu l’intercession du Prophète (BSSL) en sa faveur.

Conclusion :

Les musulmans doivent retirer beaucoup de bienfaits de ce Pèlerinage. Les « inquiets » de Dieu et ceux en quête de Vérité trouveront de quoi entretenir leur inquiétude, armer leur recherche et éclaircir la voie vers une quête spirituelle.

Notes :

1. Ces symboles ont été évoqués par Al-Ghazali dans son livre « la revivification des Sciences de la religion », mais ce ne sont pas les seuls abordés dans nos références islamiques.

2. BSSL signifie : que les Bénédictions et les Salutations soient Sur Lui.

3. Rapporté par l’Imam Ahmed.

4. Coran 2/197.

5. Al-Ghazali op.ct.

6. Au début du Pèlerinage le Prophète (BSSL) disait : « Ô Dieu, Me voila en Pèlerinage, en serviteur et en esclave » ( rapporté par Al-Bazzar et Addarikoutni).

7. Après des siècles d’ignorance et d’idolâtrie, l’homme a oublié l’aspiration naturelle vers son Seigneur et s’est révolté contre sa prime nature. Dieu a ordonné aux gens de visiter Sa maison au moins une seule fois dans la vie. Après l’édification de la Maison Sacrée, Dieu – Exalté Soit-Il – dit à notre Prophète Abraham – paix sur lui – après que celui-ci eût édifié la Maison Sacrée : « Et fais aux gens une annonce pour le pèlerinage. Ils viendront vers toi, à pied, et aussi sur toute monture, venant de tout chemin éloigné » (Coran 22/27). On relate à cet égard que notre maître Abraham – paix sur lui – s’étonna lorsqu’ Il lui a demandé d’appeler au Pèlerinage. Il dit : « Ô Seigneur, comment ma voix parviendrait-elle aux quatre coins de la terre ? » Dieu lui répondit : « Il t’incombe de lancer l’appel, et Il M’appartient de le faire parvenir à qui Je veux, serait-ce aux quatre coins de la terre ».

8. Rapporté par Ibnou Majja, al-Bayhaqui, Attirmidhi et Al-Haquim.

9. Une légende prophétique stipule que la Mecque est « Sourrate Al-Ard »- nombril de la terre.

10. Coran 6 / 92

11. La rencontre avec la Ka’aba a toujours été pour certains pieux une occasion parmi tant d’autres pour rencontrer Dieu , une rencontre avec l’Eternel l’Omnipotent. Abou Yazid disait : « A mon premier Pèlerinage, j’ai vu seulement la Ka’aba, la seconde fois, j’ai vu à la fois le sanctuaire la Ka’aba et le Seigneur de la Ka’aba et la troisième fois j’ai vu le Seigneur Seul » .

12. Certains amis de Dieu considèrent que la Kaaba peut être identifiée au cœur du croyant qui doit être purifié et rempli par la lumière d’adoration. Dieu dit : « Et lorsque Nous indiquâmes à Abraham la place de la Maison(la Ka’aba) : ‘’ Ne M’associes rien et purifie Ma maison pour ceux qui font le Tawaf et pour ceux qui se dressent, se courbent et se prosternent (les prieurs) ‘’ »(Coran 22/26) .

13. Rapporté par Ibnou Majja, Ibnou Hibban et Ibnou Khouzayma.

14. Rappelons de passage le Hadith qui précise que sous le trône divin, il y a une Ka’aba pour les anges appelée « Al-Bayt Al-Ma’mour », et que dans chaque des sept cieux, il y a une Ka’aba particulière pour ses habitants et la Ka’aba terrestre se trouve exactement au dessous.

15. Les pèlerins ressemblent ainsi, par ce fait, aux astres, étoiles, galaxies et les électrons qui gravitent autour d’un centre en suivant un orbite, de plus près ou de loin, dépendant des forces d’attraction du cosmos.

16. Le célèbre Hadith rapporté par au moins quatre compagnons : « la pierre noire représente la main droite de Dieu » (rapporté par Ibnou Majja, Tabarani et Ibnou Khouzayma). Concernant le Pacte d’allégeance (Al-Mithaq) contracté entre Dieu et les hommes dans la pré-éternité. Dieu dit : « Et quand nous prîmes des reins d’Adam sa descendance et nous fîmes témoigner : Ne suis-je pas votre seigneur ? » Ils répondirent : « Certes oui, nous en témoignons ! » Et ce afin que vous ne disiez pas au jour du jugement dernier : « Nous ne savions pas ! » (Coran 2/197).

17. Rapporté par Al-Hakim, dans une autre version du Hadith, Ali dit : « Mais si ! elle peut profiter car le Prophète (BSSL) a dit : « le jour de la résurrection, Dieu lui donnera une langue prompt à la répartie pour témoigner en faveur de celui qui y aura posé la main pour faire le contrat de fidélité, tout en croyant dans l’unicité de Dieu » (rapporté par Ibnou Majja, Attirmidhi, Ad-Darimi et Ahmed).

18. De nombreux amis de Dieu précisent que la Station à Arafat est celle de la Connaissance de l’Unique, Al-Ma‘rifa, un autre terme de la même racine que Arafat.

19. Nombreux sont les compagnons du Prophète (BSSL) qui y sont enterrés. 10 000 personnes à Baqui’e, le cimetière historique de Médine. D’autres sont enterrés au pieds du Mont Ouhoud.

20. Selon Abou-Hourayra , le Messager de Dieu dit : « Toutes les fois que quelqu’un m’adresse le salut Dieu me redonne mon âme pour que je le lui rende » rapporté par Abou Daoud).

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