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Le docteur Maurice Bucaille

Le Docteur Maurice Bucaille s’est trouve en contact de la piété musulmane pendant l’exercice de ses fonctions de chirurgien. Il s’est trouvé à maintes reprises auscultant les âmes autant que les corps, ainsi il a découvert des aspects de l’Islam que beaucoup de monde ignore. Pour mieux comprendre, le Dr. Bucaille s’est mis a étudier le Coran et pour parfaire son étude, il apprendra la langue arabe ( langue du Coran). Au cours de son étude, a sa grande surprise il a découvert dans le Coran – entre autre – certaines informations scientifiques concernant des phénomènes que l’on ne peut comprendre qu’avec les lumières de la science moderne, ainsi que des informations historiques qui n’ont été élucidées qu’avec l’archéologie moderne. Il s’est également penché sur l’étude des Ecritures Saintes juives et chrétiennes. Enfin il a présenté une part importante de ses recherches dans son livre : « La Bible le Coran et la science ; les écritures saintes examinées à la lumière des connaissances modernes » écrit en français, publié pour la première fois en 1976. Ce livre ne tarda pas a attirer l’attention des chercheurs de vérité de tous les horizons. Ainsi il fut traduit en Anglais, Arabe, Allemand, Gujarati, Indonésien, Persan, Serbo-croate, Turc, Urdu et Bengali, la version française étant a sa 15ème édition en 1993. Il a eu le prix du livre d’or en 1986. On signale également que le professeur Bucaille a public en 1981 un excellent livre sur l’origine de l’homme intitule « L’homme, d’ou vient-il ? La réponse de la science et des écritures saintes » qui a été traduit à son tour en d’autres langues, il a également co-écrit avec le professeur Talbi le livre intitule « Réflexions sur le Coran » et il a écrit en 1988 « pharaons et la médecine » qui lui a valu le prix d’ Histoire de l’ Académie Française ; et le prix général de l’Académie nationale de Médecine en 1991.

 

Le Coran une autre sainte écriture :

 

Un parcours dans les livres du Dr Bucaille fait surgir un certains nombre de témoignages et de conclusions qui ne laissent pas le lecteur indifférent au courage et a l’honnêteté intellectuelle de ce scientifique, sachant qu’il y a une diabolisation par les hommes de « science » de toute tentative de réconciliation entre science et religion en général et la science occidentale et l’ Islam en particulier.

 

Ainsi, dans son premier livre, il commence par une plaidoirie pour la réhabilitation de l’Islam dans les mentalités occidentales ; une réhabilitation déja commencée par l’église même, qui jadis appelait a sa diabolisation, et cela a travers de multiples rencontres entre les hommes des deux religions et la reconnaissance mutuelle, ainsi que l’élimination des préjugés par les propos du pape Paul VI qui se déclarait « animé d’une foi profonde dans l’unification des mondes Islamique et chrétien qui adorent un seul Dieu ». Et cette citation suffit a elle seule pour illustrer le changement de l’Eglise envers l’Islam.

 

Ainsi le Dr Bucaille propose que le Coran accède au rang d’Écriture Sainte dans le mental des occidentaux.

 

Après cela le Dr Bucaille nous livre les résultats de ses recherches sur le Coran. Il conclut ainsi :

 

 « Transcrits du vivant du Prophète, mais aussi récité par cœur par ses premiers fidèles et plus tard par de nombreux croyants autour de 1ui, tous ces éléments ont été rassemblés après sa mort (632 de l’ère chrétienne) en un livre appelé depuis lors le Coran. Il contient la Parole de Dieu, a l’exclusion de tout apport humain. La possession de manuscrits du 1er siècle de l’ère Islamique authentifie le texte actuel. »

 

II continue et confirme que le Coran ne contient assurément aucune contradiction avec la science, parlant même d’une harmonie entre le Coran et la science Moderne et que d’autre part le Coran ne laisse aucune place aux fausses idées (ou au idées mythologiques) de l’époque de sa révélation, et qu’il contient des informations scientifiques à peine découvertes a l’époque moderne, Ce qui confirme le caractère révélé de ce Livre.

 

Le vif du sujet :

 

Après quoi l’auteur rentre dans le vif du sujet. Commençant par « la création des cieux et de la terre » il a opéra d’intelligents ajustements au niveau du sens des mots et de . Le professeur Bucaille citant un certain nombre versets relatifs à ce sujet, finit par comparer les vérités Coraniques avec les vérités des sciences modernes, il termine ce chapitre par une réponse à certaines objections en écrivant :

“.. Exemptes de tous les détails fantaisistes qui accompagnent ces croyances, et marqués au contraire par la sobriété verbale de leur énoncé et par leur concordance avec les données modernes de la science. Ainsi caractérisés, les énoncés coraniques sur la création, pour avoir été exprimés il y a près de quatorze siècles, ne paraissent pas pouvoir recevoir une explication humaine.”

 

Évoquant l’astronomie dans le Coran, le docteur Bucaille cite de nombreux versets du Coran qu’il qualifie de réflexions générales sur le ciel, et qui visent simplement a attirer l’attention sur la Toute-puissance de Dieu, qui se manifeste a travers Sa création. Ensuite il a étudié ce que le Coran, il y a quatorze siècles, à diffusé comme information et descriptions des éléments séparés de l’ univers, puis de l’ organisation globale de celui-ci ; il relate la nature des corps célestes, tel la terre, le soleil, la lune, les étoiles, les planètes, etc.. ainsi que l’organisation présente de l’univers, avec l’existence des orbites, le déplacement de la lune et du soleil dans un mouvement propre, et pour le devenir de l’univers, il parle de son expansion, sa conquête. Et il termine ce chapitre en écrivant :

” La encore, lorsque l’on confronte le texte coranique et les données modernes, comment n’être pas impressionné par les précisions dont on ne peut Supposer qu’elles aient émané de la pensée d’un homme qui vécut il y a près de quatorze siècles. >> (Page 170).

Nous laissons au lecteur le soin de retrouver tous les détails de ce que le docteur Bucaille a développes dans ce chapitre comme dans d’autres tels : le règne végétal et animal, l’origine de la vie, l’équilibre.., la reproduction animale, les communautés animales (les abeilles, les fourmis etc..),

L’archéologie témoigne :

Un autre phénomène coranique a été traité dans ce livre, c’est celui de l’information historique relatant des évènements éloignes dans l’histoire humaine. Pour illustrer cela le docteur Bucaille a pris deux exemples : le Déluge (époque de Noé) et l’

Le Déluge :

Comparant le récit Biblique et le récit Coranique, constatant que ce dernier comporte des données qui ne sont pas présentes dans la Bible et qui concordent avec les données modernes, il termine ce chapitre par cette phrase : “Si des facteurs humains ne peuvent expliquer les changements dans les récits s’opérant dans le sens de la concordance avec les connaissances modernes, il faut accepter une autre explication : Une Révélation postérieure a celle “.

L’exode de Moise :

Pour mettre en évidence le défi de l’information historique dans le Coran concernant les pharaons, nous allons développer deux points dégagés de la lecture des livres du professeur Bucaille. D’autres points a développer ne sont pas moins frappants et intéressants mais on ne peut tous les reprendre ici et encore une fois, conseillons a ceux qui veulent approfondir la question de lire les livres du Professeur.

Le premier point c’est que le professeur Bucaille à été l’initiateur de nombreuses recherches sur les momies des pharaons, qui ont été rassemblées dans son livre ” Les momies des Pharaons et la médecine. Ramsés II à Paris, Le Pharaon et Moise”. Un livre qui a été récompensé par deux prix : le prix de l’histoire 1988 de l’académie française et le Prix général de l’Académie de Médecine en 1991, ce qui confère à ce livre ainsi qu’au professeur Bucaille le caractère de référence sérieuse dans ce domaine. Une concordance manifeste est constatée dans les récits Bibliques et Coraniques relatifs au séjour des fils d’Israel en Égypte et a leur sortie du pays. On constate également une concordance de ces récits avec les connaissances modernes dans leurs grandes lignes en faisant abstraction de certains détails cites dans la Bible. Ainsi le Coran et la Bible nous informent que le ” Pharaon” et ses soldats qui poursuivaient les Hébreux conduits par Moise sont morts noyés par le retour des flots de la mer ouverte (par Dieu ) pour Moise. Relatant cela, Dieu dit dans le Coran :

“Nous fîmes passer la mer aux fils d’ lsrael et Pharaon et ses troupes les poursuivirent par (esprit de) rebellions et d’hostilité jusqu’a ce qu’enfin, sur le point d’être englouti (Pharaon) dise : je crois qu’il n’existe nul Dieu si ce n’est Celui en qui ont cru les fils d’lsrael, je suis parmi ceux qui Lui sont soumis”.

Mais ce qui a échappé à la Bible ainsi qu’aux connaissances modernes – avant les travaux du professeur Bucaille- c’est que le corps du Pharaon a été repêché des eaux et momifié, ce a quoi le Coran fait allusion dans le verset 92 de la dixième sourate :

“Maintenant (tu crois) ! Alors que tu as désobéi auparavant et que tu fus parmi les semeurs de scandale  ! Aujourd’hui, Nous te sauvons, en ton corps (cadavre), afin que tu sois un signe pour ceux qui viendront après toi”.

Voila près d’un siècle, en 1898, fut découvert par Loret Thèbes dans la vallée des Rois, le corps momifié du Pharaon Mineptah, fils de Ramsès II, dont tout permit de penser que c’est le Pharaon de l’exode. II fut transporté au Caire. En juin 1975, Les autorités égyptiennes ont permis au professeur Bucaille de procéder a des examens sur cette momie et sur ses initiatives, des investigations particulières furent faites sur la momie, sur place et à Paris, sur des petite fragment tombés spontanément de la momie. Une étude médico-légale à ” permis d’établir l’existence d’une cause de mort très rapide par plaie crano-cérébrale ayant laissé une lacune de dimensions importantes au niveau de la voûte du crane, conjointement avec d’autres lésions traumatiques. Toutefois ces constatations s’avéraient compatibles avec les récits des Ecritures mentionnant que le Pharaon mourut lors du retour du flot”, et pour plus ample information, se reporter au livre ” Les Momies des Pharaons et la Médecine” déjà cité.

Le deuxième point choisi est :

Le Coran a fait mention du nom Hâmân qui est une personnalité de l’entourage du Pharaon :

” Et Pharaon dit : O notables, je ne connais pas de divinité pour vous autre que moi. Hâmân, allume-moi du feu sur l’argile puis construis-moi une tour peut être alors monterai-je jusqu’au Dieu de Moise. Je pense plutôt qu’il est du nombre des menteurs” (28/38).

et dans un autre verses, Dieu dit :

” Et Pharaon dit : Hâmân, bâtis-moi une tour peut être atteindrai-je les voies..” (40/36).

Voulant savoir si ce nom n’ aurait pas été mentionné dans les Hiéroglyphes conservés, il n’avait d’autre choix pour authentifier sa conclusion que de contacter une autorité scientifique dans le domaine : il expose alors à un égyptologue français le mot Hâmân sans pour autant l’informer d’ou il tirait le mot. le Dr Bucaille lui pose la question si ce mot datait du VIIème siècle, la réponse de l’égyptologue était de dire que pas un texte hiéroglyphique de la longue période d’oubli ne pouvait mentionner un nom jusqu’alors inconnu, l’égyptologue propose au docteur Bucaille de consulter le Dictionnaire des noms de personnel du Nouvel Empire de Ranke, en lui dessinant hiéroglyphement ce nom. A la stupeur du Dr Bucaille, il trouve ce nom avec une note ” Chef des ouvriers des carrières”, signalant que cette inscription remonte au Nouvel Empire, et nous savons bien que c’est l’époque dans laquelle s’inscrit Moïse. Par ailleurs une approche est faite avec la nature des ordres du Pharaon a Hâmân, qui dans les versets précédents demandent la construction d’une tour par deux fois Devant la clarté du signe “..Nous te sauvons, en ton corps (cadavre), afin que tu sois un signe pour ceux qui viendront après toi.. > (Coran 10/92). Le Docteur Bucaille conclut :

<< Mais j’aimerais surtout attirer l’attention sur le point précis suivant : est-ce une attitude raisonnable de soutenir que le Coran fut composé de main humaine,.. "

C’est beau, et plus encore il y a quatorze siècle :

Hâmâm.. construits-moi une tour !

Hamam !!! est-ce un prénom, un grade, fonction… il n’a y ni plagia dans la bible ni dans l’environement de Mohamed – sur Lui la Grâce et la paix- ni dans un langage quelconque.. quatorze siècles plus tard et “.. afin que tu sois un signe pour ceux qui viendront après toi..” (Coran 10/92). Un chercheur d’or (vérités) à l’est (orient) armé de la science et du courage doubles d’une grande honnêteté intellectuelle fait une découverte :

Hâmân est une designation qui a bel et bien existe. Il a signifie : Chef des ouvriers de carrières. Ainsi la phrase de pharaon : (Ô Hâmân, bâtis moi une tour… prend sens et devient : Ô Chef des ouvriers de carrières, construis moi une tour.. !!

Ceci nous incite à faire preuve de beaucoup d’humilité intellectuelle devant les informations précieuse qu’on trouve dans le saint Coran. Et cela dans tous les cas : que l’on en cerne le sens ou pas encore.

Ainsi le Docteur Bucaille donne, par le résultat, de ces recherches une bonne adresse pour les chercheurs de vérité : le Coran. Tout en signalant aux non-arabophones que les traductions du Coran ne sont pas toutes fiables pour faire passer le sens voulu dans une autre langue, et parlant des méfaits des traductions, il dit dans son livre : Réflexion sur le Coran (p.213 et s) :

“Les toutes premières traductions sont marquées par de très grandes libertés prises avec le texte, les auteurs ayant plus le souci de (combattre l’hérésie) que d’être fidèles au contenu du Coran…. Ies traductions qui circulent de nos jours sont le plus souvent inutilisables. Lorsque je connus suffisamment l’arabe littéraire… je m’aperçus que nombre d’auteurs étaient passés complètement a coté du sens,… celui qui méconnais l’arabe littéral… et ne peut recourir qu’a des traductions est compIètement incapable d’avoir une opinion valable sur le sens d’un verset coranique offrant des allusions a des connaissances profanes.. >>.

Pour dire que le mot arabe ” yawm pluriel ayyam”, tel qu’il est dans le Coran ne peut être traduit littéralement, car Dieu parlant de la création, dit : ” Votre seigneur est Dieu qui créa les cieux et la terre en six yawm (littéralement = jour)”. Ailleurs dans le Coran Dieu dit “..dans un jour valant mille de ce que vous comptez” 32/5 et “…yawm dont..50 000 ans” 70/4.

Ainsi le Coran introduit une nouvelle donnée (car une journée sur Jupiter n’est pas une journée sur mars, c’est un concept nouveau que de dire un jour de terre = x jours de mars), on pourrait croire qu’un jour sur terre d’il y a des millions d’années n’est pas le même qu’un jour d’aujourd’hui et tout cela est lie a la vitesse de rotation de la terre sur elle même. Donc de tous cela il ressort qu’une journée est une période de temps qui peut être mise en unité dans une périodicité quelconque. Ainsi les 6 jours deviennent les 6 périodes, ce qui a été déjà fait dans une traduction en anglais en 1934 dans l’excellente et fidèle traduction de Yousouf Ali, le traduisant par longue période ou age

 

 

Il a d’ailleurs publié récemment un livre consacre a ce dernier sujet : Moise et Pharaon, Les Hébreux en Égypte ; Quelles concordances des Livres saints avec l’Histoire ? (Édition Seghers, Paris 1995)

 

 

Dans ce chapitre il traite de la fécondation, la nature du liquide fécondant, la nidation de l’oeuf fécondé et l’évolution de l’embryon, et termine le chapitre par le Coran et I’éducation sexuelle.

 

 Le Coran dit de lui-même qu’il vient confirmé la Bible ” Et je confirme ce qu’il y a dans la Thora révélée avant moi, et je vous rends licite un partie de ce qui vous était interdit… “(Coran 3/50). Il est donc naturel que des récits existants dans la Bible se trouvent dans le Coran. Faisant l’économie d’une analyse des différences dans ces mêmes récits, certains écrivains ont conclut, à tort, a un mauvais plagia que le Coran aurait fait de la Bible !!

L’intérêt de l’étude du professeur Bucaille est de montrer que la différence des récits Coranique va dans le sens de compléter ces histoires en pleine concordance avec les découvertes modernes. .

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