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Le brûlot anti-islam prohibé en Russie

Notre vaste monde, assis sur un volcan, se serait bien passé de « Innocence of muslims », ce piètre péplum anti-islam dont le souffle épique a embrasé la galaxie arabe et ravivé l'islamophobie incandescente en Occident, sous la caméra de l’obscur pyromane de la pellicule, Nakoula Basseley Najoula, un copte chrétien, d’origine égyptienne, aux multiples visages et au lourd passif, interpellé à Los Angeles fin septembre.

Pour poursuivre sa carrière internationale, ce navet hautement inflammable poursuit surtout sa moisson de censures en raflant les premières places dans les listes noires de nombreux états, dont la Russie qui vient de l’inclure dans la liste des œuvres à caractère extrémiste.

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Officiellement prohibé par le ministère russe de la Justice, le film, qui aurait mérité de se consumer dans son néant cinématographique, est jeté aux oubliettes moscovites, après qu’une expertise psychologico-linguistique, effectuée sur ordre du Parquet général du pays, ait établi que son contenu suscitait la haine religieuse et humiliait les adeptes de l'islam. "Innocence of muslims" rejoint ainsi les ténèbres d'où il n'aurait jamais dû émerger…

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