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La colère face aux dérives de l’Autorité palestinienne

Le 24 juin 2021, l’activiste palestinien Nizar Banat meurt sous les coups portés par les membres des forces de sécurité palestiniennes venues l’interpeller au domicile familial. Cet opposant politique critiquait avec force la corruption qui gangrène l’Autorité palestinienne. Sa mort a eu un effet catalyseur dans les Territoires palestiniens : des manifestants fustigent le pouvoir incarné par le parti Fatah et Mahmoud Abbas, 86 ans. Le président de l’Autorité palestinienne, qui s’accroche à son fauteuil, vient juste d’annuler les premières élections prévues depuis 16 ans.

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  1. Les mouvements populaires Arabes dénommés “printemps Arabe” n’ont pas commencé en Tunisie mais en Filastine, il y eut des élections démocratiques exemplaires reconnus partous, perdants compris, pas un coup, pas une giffle, le mouvement “Islah wa attaghiir”, “Réforme et changement” l’a emporté sur le mouvement Fatah, surtout à Gaza. Nous sommes au temps où triomphent les réactionnaires, la contre-révolution, sous l’influence et l’impulsion des émirats anti-Arabes unis, de l’Arabie, de l’égypte, mais en arrière-plan ou au premier plan, de l’entité Sioniste et des états-unis. Avec tout de même une excuse, enfin je crois, dans le cas de la Filastine souffrante, c’est que l’autorité dont on parle est prisonnière, comme celle de Gaza, et donc, le chef des prisonniers ne fait rien sans les ordres du directeur de la prison dont il est lui-même le prisonnier. Si le mouvement Hamas et autres associés à Gaza résistent un peu, le Fatah, ou plus exactement une frange qui a subverti le mouvement Fatah et qui s’est indûment emparé de l’Autorité à Ramala avec l’aide évidemment Sioniste, cette frangze mal nommée Fatah dont beaucoup se sont désavoués ne cherche pas à résister mais ne sait pas comment mieux collaborer avec le directeur de la prison.

    Circonstance atténuante de l’occupation, mais ailleurs on n’est pas mieux qu’en Filastine, le peuple de Tunisie s’est couché et ne se relève pas, il a mangé l’abandon de la liberté, et il ne mange plus maintenant, le voilà réduit à l’aventurisme d’un dictateur qui ne prend pas de gant et qui croît en tyrannie chaque jour. Temps tristes et longue souffrance, plaise à Allah nous faire franchir ces épreuves jusqu’à l’accomplissement pérenne de la Liberté.

    Croissant de lune.

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