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Interrogée sur l’exclusion des athlètes russes et biélorusses, la ministre canadienne des Sports fuit piteusement

Quand on tend le miroir à l’Occident pour qu’il y découvre la noirceur de son âme et de ses desseins, sa duplicité et son cynisme insondables, son indignation à géométrie variable, et son hégémonie qui a du plomb dans l’aile, il fuit devant le reflet de son image irrémédiablement ternie dans un monde désormais multipolaire. Ne lui en déplaise…

A l’instar de Pascale St-Onge, la ministre canadienne des Sports, qui en est la parfaite incarnation, l’Occident impérialiste tourne les talons avec mépris face à ce miroir qui ne lui renvoie pas son plus beau reflet, idéalisé et fantasmé, dans lequel se mirer.

Ce miroir sans artifices, qui ne triche pas avec la réalité, a pris la forme de questions qui appuient là où ça fait mal. Apostrophée par un activiste canadien, la ministre des Sports s’est murée dans un silence éloquent, avant de battre en retraite piteusement. Courage, fuyons, Madame la ministre !! (vidéo ci-dessous)

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« Madame St-Onge, vous ne voulez pas que les athlètes russes et biélorusses participent aux Jeux Olympiques, ni à d’autres grandes compétitions internationales, mais ressentiez-vous la même chose envers les Etats-Unis après leur invasion de l’Irak ? Et après l’invasion de l’Afghanistan ? Et après que les troupes canadiennes ont bombardé la Libye et l’Afghanistan ? Auriez-vous pris la même décision contre les athlètes canadiens ? Pourquoi ne répondez-vous pas à ces questions, ce sont des questions très simples. Et qu’en est-il des athlètes israéliens ? Depuis 50 ans, Israël occupe les terres des Palestiniens, c’est un Etat d’apartheid, que penseriez-vous d’exclure les athlètes israéliens ?»

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