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Hommage à Djouher Akrour, la plus jeune condamnée à mort de la révolution algérienne

https://www.facebook.com/oummacom/videos/10156164061341142/

Célèbre Moudjahida, Djouher Akrour s’est éteinte en mars 2018, à 79 ans, mais la flamme de sa mémoire brillera longtemps. Elle fut l’une des icônes de la lutte des femmes algériennes pour l’Indépendance.

Arrêtée en 1957, elle devint la plus jeune condamnée à mort de la révolution. Djouher Akrour était entrée dans l’histoire de l’Algérie, à seulement 18 ans. Tout au long de sa vie, elle fit preuve d’une combativité et d’une abnégation exemplaires. Après avoir survécu à l’enfer carcéral et à la torture, elle se dévoua corps et âme à la reconstruction de son pays.

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En 1985, elle fut l’un des membres fondateurs de la Ligue Algérienne des Droits de l’Homme. Restée fidèle au serment prêté à ses compagnons de lutte, Djouher Akrour apporta sa pierre à l’édifice algérien, avec la même énergie qu’elle déploya pour lui faire recouvrer sa souveraineté.

Jusqu’au soir de son existence, le cœur de cette femme d’exception battait pour l’Algérie.

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8 commentaires

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  1. Paix a son âme, elle avait pour elle le soucis de fédérer toutes les sœurs combattantes pour se reconstruire après avoir été usées et abuser par les tenants du système, les héros de la cinquième heure .
    Puisse Dieu le tout puissant les accueillir et les recevoir dans sa vaste demeure.

  2. Je viens d’apprendre très tardivement le décès de Jouher AKROUR.
    Grand hommage à Jouher, militante de la révolution algérienne et ancienne condamnée à mort.
    Elle cherchait du travail en 1972 ou 1973 je crois, et sa sœur Anissa AKROUR, qui était ma secrétaire, m’en a parlé.
    Sans hésiter, je lui ai demandé de proposer à sa sœur Jouher de constituer un dossier pour que je la recrute au sein de la RTA, structure où j’étais à l’époque Ingénieur Chef de Département.
    Jouher n’avait aucune qualification particulière, mais j’ai affirmé à sa sœur que c’était un devoir sacré que de l’aider : elle devrait être payée, quitte à rester à la maison. Je suis moi-même ancien moudjahid et je n’ai pas supporté que notre sœur de combat soit dans l’indigence.
    Jouher a été recrutée, mais au prix d’une grande persévérance.
    JO -comme nous l’avons appelée par la suite- s’est intégrée dans l’équipe du Département et a conquis l’estime de tous. Nous l’aimions, notre JO!
    Après mon départ de la RTA, j’ai revu parfois Jo, et il m’a était agréable de la savoir retrouver une vie normale, après toutes les atrocités que lui a fait subir le colonisateur.
    Mes sincères et tristes condoléances à sa famille et à sa sœur Anissa.
    Paix à son âme. Qu’elle puisse être un exemple pour nous tous.

  3. Et les villages entiers avec femmes et enfants sans defense brulés au Napalm, et les enfumés de la Dahra, et les hommes et femmes torturées Violées devant leurs enfants, et les milliers massacrés, au lendemain du débarquement de la nation de HUGO, Voltaire…qui ne voyaient qu par le prisme de la race blanche, Hein CoCo….d’ailleurs Hugo n’a jamais condamné le colonialisme, et n’a pas dit mot sur les exactions Francaises en Algerie, lui le chantre de l’humanisme,

      • Oui les enfants vont au paradis, car innocents,
        Et les villages entiers avec femmes et enfants sans defense brulés au Napalm, et les enfumés de la Dahra, et les hommes et femmes torturées Violées devant leurs enfants, et les milliers massacrés, au lendemain du débarquement de la nation de HUGO, Voltaire…qui ne voyaient qu par le prisme de la race blanche, Hein CoCo….d’ailleurs Hugo n’a jamais condamné le colonialisme, et n’a pas dit mot sur les exactions Francaises en Algerie, lui le chantre de l’humanisme

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