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Geert Wilders fraye en eaux sionistes

Qu’attend donc le triste sire de l’ultra nationalisme néerlandais, Geert Wilders, pour afficher clairement ses couleurs, et rebaptiser son parti pour la Liberté en parti implacablement anti-islam, et farouchement pro-sioniste ?

Sous la bannière d’un idéal de liberté perverti, Geert Wilders est un funeste cheval de Troie du sionisme en Europe, un comble pour celui qui, dans l’enceinte du parlement de la Haye, faisait endosser ce rôle à l’islam, promettant des lendemains, loin d’être libres d’agir, mais plutôt pieds et poings liés à un certain diktat.

La preuve en images, Geert Wilders est accueilli très chaleureusement par un rabbin lors d’une cérémonie dans une synagogue américaine à Boston, comme un des leurs. Voici un nouvel éclairage sur un personnage sulfureux, qu’un florilège d’informations sur sa vie privée vient étayer et interroger sur une possible conversion : il a fait plus de 40 séjours en Israël ; il a des ancêtres juifs, est mariée à une juive hongroise ; il a revendiqué dans le passé avoir des liens étroits avec le Mossad, porte souvent la Kippa avec fierté, s’est recueilli devant le mur des lamentations, et lors de son procès pour incitation à la haine raciale, a bénéficié du soutien des néoconservateurs américains comme Daniel Pipes et David Horowitz… Qu’on se le dise !

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