in

Fadela Amara, la Cassandre du pouvoir, au sujet de la Tunisie

Aussitôt éjectée du gouvernement, aussitôt reclassée tout en haut de la pyramide administrative, la trajectoire sous haute protection de Fadela Amara déroge à toutes les règles de la méritocratie pour emprunter des chemins de traverse, jalonnés de multiples compromissions, mais qui sont de loin les sentiers de la gloire les plus sûrs…

Les compétences, l’obligation de résultat, pourquoi la nouvelle inspectrice générale des Affaires sociales s’embarrasserait-elle de considérations aussi prosaïques, alors que la cécité complaisante du pouvoir ferme les yeux sur ses faiblesses et lacunes pour bons et loyaux services rendus à la cause suprême : l’instrumentalisation de l’islamisme ?

L’heureuse « recasée » de l’Elysée n’aura pas attendu longtemps avant de refaire surface dans les médias, en l’occurrence au micro d’Europe 1, et se faire la Cassandre de la voix de son maître en agitant le spectre de l’intégrisme en Tunisie.

Publicité
Publicité
Publicité

La belle leçon de démocratie a le parfum du jasmin, mais les sinistres donneurs de leçons sont bien de chez nous, irréductiblement Sarkozystes, à l’image d’une beurette de service, qui n’est plus à une félonie près, au point de jouer les directeurs de conscience des Tunisiens.


Publicité
Publicité
Publicité

Laisser un commentaire

Chargement…

0

Djamel Debbouze : “Je ne trouve pas normal que des gamins de 20 piges aient des barbes jusqu’à l’omoplate”

L’Egypte ou la pyramide renversée