Douce France, cher pays de la double allégeance, douce République qui ne saurait voir le communautarisme en son sein, mais ferme les yeux sur la fierté d’appartenance à Israël et sur le militantisme pro-Netanyahu affiché, revendiqué et pleinement assumé par la perfidie faite homme : Enrico Macias.
A l'occasion du cinquantenaire de sa carrière, ce dernier a récemment poussé de nouveau la chansonnette, mais pire encore, la supercherie à son comble, en traînant son vague à l’âme sur tous les plateaux de télévision, tentant de faire illusion dans la peau de l’artiste maudit en Algérie, alors qu’il rêverait qu’on lui déroule le tapis rouge pour célébrer le retour du grand réconciliateur.
Démystifié depuis longtemps, Macias, l'ardent défenseur de la colonisation forcenée, fait encore une fois l’illustration de son cynisme confondant dans cette vidéo accablante, où il appelle ses « frères » israéliens à voter pour le « chef » d’Israël, lors du scrutin législatif qui a lieu ce jour, et qui, selon toute vraisemblance, devrait reconduire dans un fauteuil l’ultra-sionisme au pouvoir.
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