Trois ans de prison ferme et une amende de 500 000 dinars. C’est la lourde peine dont a écopé cet internaute en Algérie. Walid Kechida, 25 ans, a été condamné pour avoir publié sur Facebook des « mèmes » tournant en dérision la religion et le président Abdelmadjid Tebboune. Militant connu de la jeunesse de Sétif, il était en détention provisoire depuis plus de huit mois. Il a été reconnu coupable d’offense au président, aux préceptes de l’islam et d’outrage à corps constitué.
En Algérie, un internaute condamné à trois ans de prison pour des “mèmes“
7 commentaires
Laissez un commentaireLaisser un commentaire
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.
Chargement…
0
Leroy, vous dites ” votre dieu ” ,
A bon, parce que le votre est plus clément.
Leroy, apprenez,
L’occident et les états arabo musulmans ont le même dieu , presque le même que celui des chinois, il s’appelle : Dieu l’homme.
Aprés tout on est la moitie du ciel et les chinois l’autre moitie.
jppermentieroutlook-fr
Chez nous, on ne met pas en prison à tour de bras comme dans les pays musulmans qui réjouissent votre dieu.
Par contre nos prisons sont remplies essentiellement de gens issus de l’immigration musulmane. Question de délinquance liée aux différents trafics.
Quelle chance d’avoir une telle immigration !
Un groupe de voyous, de délinquants fait la loi !!!!
Mais franchement je ne trouve pas de mots, personne ne les a mandaté, ces hors la loi, utilisent les moyens publiques pour museler, emprisonner, infirmer voire même tuer des citoyens qui les dénoncent ou revendiquent leurs droits !!!
@leroy, ou voyez vous la démocratie? à part dans les journaux et livres biensur
La liberté d’expression n’est plus, même aux USA et en Europe, alors en Afrique, faut même pas essayer …
Trois ans de prison ferme et une amende de 500 000 dinars, dérision religion et président Abdelmadjid .
Tebboune.
La religion cadrée par la pensée humaine n’est pas une priorité, partout sur la planète.
Ce jeune est condamné pour offense au pouvoir.
Dans l’islam, personne n’est à l’abri d’une insulte, sauf le prophète.
Le pouvoir arabe se prend pour un prophète.
C’est là toute la différence entre une démocratie et une dictature musulmane.