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Daniel Schneidermann accuse DSK de harcèlement dans l’émission “Ce soir ou Jamais”

Grandeur et décadence. La descente aux enfers de DSK, qui voit son propre piège se refermer sur lui, était au cœur de l’émission “Ce soir ou Jamais” de lundi soir, qui tentait d’esquisser le portrait sulfureux de l’ancien ministre des finances, dont le passé trouble est en train de remonter à la surface.

Daniel Schneidermann, directeur de la publication du site Arrêt sur images, fait partie de ceux qui bravent l’omerta encore largement dominante, et face à Michèle Sabban, une fidèle parmi les fidèles du patron du FMI, ce dernier a décrit un personnage très entreprenant, pressant, pour qui le droit de cuissage devait relever du droit coutumier, et bel et bien adepte de l’échangisme.

L’article prémonitoire de Jean Quatremer, correspondant de Libération à Bruxelles, que DSK aurait été bien avisé de méditer, prend une résonance particulière aujourd’hui, alors qu’il suscitait un tollé au moment de sa parution en 2007.

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En substance, extrait d’une analyse particulièrement fine de celui qui était plébiscité dans les sondages, mais dont le grand public ignorait tout : DSK « dont tous les médias connaissent le goût pour une sexualité débridée, risquait des ennuis dans un pays qui ne plaisante pas avec la morale, en général, et le harcèlement sexuel en particulier », ajoutant : « Le seul vrai problème de Strauss-Kahn est son rapport aux femmes. Trop pressant, il frôle souvent le harcèlement. Un travers connu des médias, mais dont personne ne parle (on est en France). Or, le FMI est une institution internationale où les mœurs sont anglo-saxonnes. Un geste déplacé, une allusion trop précise, et c’est la curée médiatique. »


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