Dans ce quartier de Guayaquil, Cesar Galvez attend depuis 5 jours que l’on vienne chercher le corps de son père mort, chez lui, du coronavirus. Il s’est résolu à recouvrir le corps de chaux vive. Les services funéraires hésitent à se déplacer. Les légistes sont débordés. La situation est telle que le vice-président Sonnenholzner a présenté ses excuses samedi à la télévision. Guayaquil, ville la plus peuplée, enregistre déjà la moitié des décès du pays.
Coronavirus : en Equateur, l’abandon des morts
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J’aime vraiment ton article. Il est évident que vous avez beaucoup de connaissances sur ce sujet. Vos remarques sont bien argumentées et compréhensibles. Merci d’avoir écrit du matériel intéressant et intéressant.