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Conspué par la rue, le nouveau président algérien “tend la main” aux contestataires

Abdelmadjid Tebboune, ancien Premier ministre d’Abdelaziz Bouteflika, a été élu président de l’Algérie dès le premier tour du scrutin, marqué par une très forte abstention. Une élection loin d’apaiser le mouvement du “Hirak”, qui a manifesté en masse vendredi contre ce résultat.

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7 commentaires

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  1. Teboun, premier ministre avait dit le 8 janvier 2017,

    ” Je le dis d’une façon officielle et je répète ce que je dis, je jure devant dieu tout puissant que le programme de son excellence le président Bouteflika ne s’arrêtera pas quelque soit les circonstances”.

    C’est le cinquième mandat de Bouteflika, sans Bouteflika.

  2. Limogé en 2017 pour avoir menacé les intérêts des oligarques, l’ex-Premier ministre de Bouteflika a promis de reprendre la lutte contre la corruption. En printemps 2017, à peine nommé Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune avait averti qu’ « il faut séparer l’argent de la politique et cibler les oligarques ». on va voir s’il va mettre ses paroles en pratiques et se mettre en danger…car tout president en Afrique qui se rapproche de son peuple prend des risques de sanctions économiques et de coup d’état par le groupe des pires dictatures dans le monde ceux qui détiennent les finances et qui sont prêts à sacrifier des peuples pour leurs interets personnels…je vous laisse deviner lesquels…

  3. Pour déboucher sur une solution, il faudra bien que les partisans du Hirak s’organisent en différents partis politiques avec des leaders, sinon ça risque de mal tourner en faveur des militaires ou des islamistes, ceux-ci très discrets vu qu’ils attendent de voir ce qu’ils vont pouvoir exploiter dans le désordre ambiant.
    Sinon, la révolte sera confisquée, et ça n’aura pas été une révolution. Et vous aurez une dictature de plus.

    • Vous n’avez rien compris, apprenez

      C’est un mouvement populaire comme disait Macron : je prend note et dialogue avec la population.

      Il y a un point commun à toute la population, l’armée doit se soigner.
      Le dialogue doit être fait avec l’armée et non pas avec une vitrine civile.

      Quand on construira un état de droit liberté et justice, chacun défend son projet.

      Le pouvoir militaire avait pu régner en utilisant deux cartes que le temps a grillé pour toujours.

      La carte diviser pour régner , berbère contre arabe , laïque contre islamiste
      La carte terrorisme pour dire il faut choisir entre sécurité et liberté.; jamais les deux.

  4. Bon ba ça va alors, s’il tend la main aux contestataires ce Tebboune (un petit air de saoudien quand même) c’est qu’il est plus ou moins sérieux, espérons qu’il continue sur la lancé des autres lignées à savoir brader les ressources de l’Algérie, acheter de la camelote aux chinois et investir dans l’immobilier étranger.

  5. Le peuple reste contre la marchandise sécurité ou liberté.

    Bouteflika était un homme très rusé, avec une expérience de plus de cinquante années, il est venu en 99 quand l’argent commençait à tomber du ciel. Il n’a rien pu faire.

    Bouteflika disait , avec ses propres mots, nous somme au bord de l’enfer.

    Il n y a qu’une seule issue, le peuple va bien, il l’a démontré, l’armée doit se soigner.

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