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Charia, droits des femmes et lois des hommes

Depuis un quart de siècle, un fort vent de conservatisme religieux souffle dans de nombreux pays musulmans, avec des effets dévastateurs sur les droits des femmes. Au nom d’un retour à la pureté du temps de la Révélation, des groupes extrémistes ont décrété, à leur accession au pouvoir en Afghanistan, en Malaisie, en Somalie ou au Nigéria, une stricte ségrégation entre les sexes dans les lieux publics, les hôpitaux et le système éducatif, etc.. Ils ont imposé aux femmes le port de vêtements tels que le hijab, le niqab ou la « burqua », et leur ont interdit, entre autres mesures répressives, d’exercer toute activité professionnelle.

Sous prétexte d’appliquer la charia, ils ont bafoué non seulement les droits que l’Islam avait octroyés aux femmes dès le 7è siècle, mais également l’essentiel des acquis des femmes en matière juridique, économique, politique et sociale, qu’elles avaient obtenus à l’issue de décennies de haute lutte à travers les pays musulmans, tout au long du 20è siècle.

Cette régression des droits des femmes prend actuellement, et avec le passage des ans, une ampleur croissante dans de nombreux pays d’Afrique et d’Asie. Etrangement, elle fait également des adeptes dans les communautés musulmanes d’Europe et d’Amérique du Nord. Même des pays qui avaient échappé aux tourmentes de l’extrémisme, à travers leur histoire, tels que la Tunisie et le Maroc, en sont aujourd’hui affectés.

Face à l’assaut des courants religieux conservateurs sur les droits des femmes, les associations féminines musulmanes ont dû revoir leur stratégie. Pendant des décennies, elles avaient mis l’accent sur la nécessité d’appliquer dans leur intégralité les dispositions des conventions internationales sur les droits de la femme que les pays musulmans avaient signées, sous l’égide de l’ONU. Elles insistaient, en particulier, sur la nécessité de lever les réserves exprimées par les gouvernements de ces pays au sujet de diverses dispositions de ces conventions, qui les vidaient d’une grande partie de leur contenu.

Sous la pression de la nécessité, de nombreuses associations se sont attelées à la lecture attentive de la charia, afin de développer de nouveaux outils pour lutter efficacement contre les discours des extrémistes religieux. Comme l’explique la pakistanaise Riffat Hassan, elles ont découvert, à leur grande surprise, qu’il existait un grand fossé « entre ce que le Coran disait au sujet des droits des femmes et ce qui se faisait en réalité dans un environnement culturel islamique ». « Par conséquent », observe-t-elle, « il faut distinguer entre le texte coranique et la tradition islamique.

Ce sont les hommes qui ont procédé, presque exclusivement, à l’interprétation du Coran, depuis les temps les plus anciens. Ils faisaient cela au sein d’une culture patriarcale dominée par eux. Le Coran a donc été interprété du point de vue culturel des hommes – ce qui a évidemment affecté les droits des femmes. »

La Nigérienne Ayesha Imam a procédé à une étude minutieuse de cette question, dans un article intitulé « Les droits des femmes dans les lois musulmanes ». Elle explique qu’il faut “distinguer entre l’Islam – la voie d’Allah – d’une part, et ce que les musulmans font, d’autre part. » D’après elle, l’Islam ne peut pas être remis en cause, mais ce que les musulmans font peut l’être, car ce ne sont que des êtres humains, qui sont sujet à l’erreur.

D’après elle, bien que les lois religieuses tirent leur inspiration du divin, elles ne doivent pas être confondues avec des lois divines. La charia incorpore le facteur humain dans tous les aspects de son élaboration, de son développement et de sa mise en œuvre. Le nombre de versets coraniques à la base de la charia est très modeste, comparé à la multitude et à la complexité des règles juridiques qui constituent le corpus du droit musulman.

Même les experts n’arrivent pas à s’accorder sur le sens exact de divers versets coraniques. Par ailleurs, il est admis que de nombreux hadiths sont apocryphes, et sont le produit de luttes entre sectes ou entre dynasties. Certains hadiths relevant de cette catégorie semblent avoir eu pour unique objectif de réduire les droits des femmes, bien qu’ils ne puissent s’appuyer ni sur des dispositions coraniques ni sur d’autres hadiths pour les conforter.

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Ayesha Imam note, à ce propos, que les musulmans croient, à tort, que la charia est la même dans l’ensemble des pays musulmans, alors qu’elle varie de manière considérable d’un pays à l’autre, et d’une époque à l’autre. Cela est parfaitement illustré par l’existence de quatre grandes écoles de pensée juridique dans la seule tradition de la sunna (et qui s’élevaient à une vingtaine dans des temps plus anciens). Il existe également un rite shiite regroupant un nombre considérable d’adeptes, et de nombreux courants religieux d’importance moindre, qui regroupent néanmoins des millions d’adhérents chacun.

Les fondateurs des quatre grandes écoles de pensée juridique sunnite ont emphatiquement souligné, en leur temps, que leurs interprétations des dispositions de la charia ne devaient en aucun cas être considérées comme des données définitives, qui lieraient les musulmans en tous lieux et en tous temps. Par conséquent, observe-t-elle, « le refus de l’ijtihad n’obéït pas à une prescription religieuse. Ni le Coran ni la Sunna n’exigent cela. Bien au contraire, aussi bien le Coran que la Sunna encouragent la pensée individuelle, le raisonnement et la diversité d’opinion. »

A l’appui des observations de Mme Ayesha Imam, on peut citer la multiplicité de codes nationaux de statut personnel appliqués, aujourd’hui, dans les pays musulmans. Les exemples d’évolution des dispositions de la charia à travers le temps, dans le même pays, abondent également. Les différents textes de loi formant code du Statut Personnel, qui ont été successivement appliqués en Egypte au cours du 20è siècle, illustrent cette proposition.

Le Code du Statut Personnel appliqué au Maroc peut également servir d’illustration, ayant enregistré des modifications considérables, entre sa première version adoptée en 1957, au lendemain de l’accession du pays à l’indépendance, et le nouveau Code de la famille adopté en 2004.

Il faut noter que ce dernier est le fruit d’un demi-siècle de lutte des associations féminines marocaines pour la réforme de nombreuses dispositions restrictives que le texte de 1957 comprenait et ce, face à une opposition acharnée des mouvements religieux conservateurs, en particulier au cours des dernières années. Ces derniers ont d’ailleurs failli faire capoter le projet de réforme, qui ne put être sauvé que grâce à l’appui personnel décisif du roi Mohamed VI.

Le Code marocain de la famille de 2004 place cette dernière sous la responsabilité conjointe des deux époux. Il permet à la femme d’agir comme son propre tuteur, et fixe à 18 ans l’âge minimum de mariage des personnes des deux sexes. Il impose des conditions draconiennes au mariage dans le cadre du régime de polygamie et encourage l’épouse à inclure dans le contrat de mariage, si elle le désire, une clause pour interdire un second mariage de l’époux. Il place la répudiation sous un strict contrôle judiciaire et exige la répartition équitable des biens du couple avant que le divorce ne puisse être finalisé.

L’exemple marocain est intéressant à étudier, dans la mesure où toutes les dispositions du nouveau Code sont basées sur une lecture attentive, minutieuse et complète de la charia, dans toute sa complexité. Nul ne peut lui reprocher de s’être éloigné de la lettre ou de l’esprit du droit musulman, pour incorporer des concepts et des règles issus de la culture occidentale.

La comparaison des dispositions des textes de loi adoptés au Maroc en 2004 et en Egypte en 2000 témoigne, quant à elle, des divergences considérables dont les juristes musulmans peuvent faire preuve dans l’interprétation et l’application de la charia, même dans le cas de pays musulmans à culture relativement comparable, par ailleurs. Les juristes musulmans s’enorgueillissent de cette flexibilité du droit musulman, qui constitue pour eux la preuve de sa vitalité. Les associations féminines peuvent aussi s’en réjouir, puisqu’elle peut leur permettre de réaliser des progrès considérables en matière de droits des femmes musulmanes, dans le respect aussi bien de la lettre que de l’esprit de la charia.

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24 commentaires

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  1. La Loi d’Allah, la Charia, est juste pour l’homme comme pour la femme et c’est une femme qui vous le dit.

    C’est l’homme qui a fait la situation actuelle.

    Si tous les pays musulmans pratiquaient à la lettre la Loi d’Allah, on n’en serait pas là où nous sommes aujourd’hui, à copier tout ce qu’il y a de pire et de décadent dans le monde occidental et qui nous a perdus !

  2. @Cheyenne :
    Sourage Al Baqara, Verset 120
    Ni les Juifs, ni les Chrétiens ne seront jamais satisfaits de toi, jusqu’à ce que tu suives leur religion. – Dis : “Certes, c’est la direction d’Allah qui est la vraie direction”. Mais si tu suis leurs passions après ce que tu as reçu de science, tu n’auras contre Allah ni protecteur ni secoureur.

  3. Kalim : étant allé, en pays musulmans, je dirais, que vous faites l’autruche pour paraître sain.
    Le voile n ‘ empêche en rien la prostitution. Mais, il est plus facile de critiquer les autres ! Comme il est dit dans la noble bible, ” Avant de regarder la paille, dans l ‘ oeil de ton voisin, fait plutôt attention, a la poutre, que obstrue letienn ”
    Le vrai porc, c’est l ‘ homme, qui voyant une femme , est incapable de gérer ses réactions.
    Alors c’est vrai, qu’ il est plus facile, de cacher les femmes. Drôle de mentalité !

      • Kalim : Personnellement, la comparaison avec le porc, ne me dérange pas outre mesure, puisque que c’est l’ animal le plus compatible avec l’ homme, pour les greffes d’organes, Dieu fait toujours bien les choses !
        Maintenant, la prostitution, n’est pas qu’une image d’ Epinal, elle a toujours existée, et ce , dans toutes les civilisations, et dans tout les pays, vous pouvez vous masquer la face, mais , c’est ainsi !
        D’autre part, le corps de la femme, lui appartient, elle peut donc en faire ce qu’elle veut, et, si elle en fait quelque chose de mauvais, ce n’ est pas a quelques moralisateurs de rendre la justice, Dieu s’ en chargera en temps et en heure ;
        Et, je voudrais, pour finir, signaler, que le marché de la prostitution, en France, est surtout entre les mains des Maghrebins, et le role de souteneur, s’ apparente a de l’ esclavage !

        • @Cheyenne

          J’ignore si la majorité des julots casse-croute est arabe ou russe, mais il se trouve que la France est l’un des pays les plus déterminés à lutter contre la prostitution, ce qui n’est pas forcément une très bonne idée. Dans tous les cas, la prostitution existe depuis des siècles dans tous les pays, et je doute qu’elle puisse disparaitre un jour, comme d’ailleurs vous le rappelez à juste titre.
          Enfin, s’agissant de la lutte contre le proxénétisme, elle est d’autant moins efficace que les macs sont tous des indics. C’est comme pour la drogue. La police a fait des choix. Je suppose qu’ils savent de quoi ils parlent.

      • Mort de rire ! Le donneur de leçons qui vantait les qualités d’etalon arabe de TR, adultérin mais également adepte de l’humiliation des femmes. J’imagine que l’ondinisme pratiqué par son gourou peut même être envisagé comme une pratique sainte. Quand l’hypocrisie et la tartufferie règnent en maître, quand le mal devient le bien. Beurk !

  4. @Kalim

    Vous connaissez beaucoup de femmes occidentales qui correspondent à ce que vous décrivez, à savoir une star du porno qui se ballade en string? Perso, je croise des femmes vêtues d’un pantalon et d”un pull, qui ne sont pas des objets sexuels mais des personnes, et ne suscitent pas la moindre folie libidineuse chez les hommes, lesquels n’ont d’ailleurs pas forcément envie d’entretenir une maîtresse.
    Revenez sur Terre. Et cessez de projeter chez autrui votre obsession sexuelle conséquente d’un refoulement construit par la religion. Une femme, c’est un être humain, pas une poupée Barbie animée. … Ou une bonne sœur acariâtre. Voila ce que vous ne comprenez pas. Essayez de faire preuve d’empathie. Une femme, c’est “quelqu’un”. Pas un truc à planquer dans un sac.

    • Et les femen n’existent pas, et la culture porno n’existe pas, et les panneaux publicitaires n’existent pas et et et. Mais bien sûr. Vous devez simplement être trop laid pour le comprendre. De nos jours, une maîtresse ne s’entretient plus, c’est plutôt elle qui vous propose un entretien. Pour le coup, vous êtes à la ramasse très cher. J’imagine le patelin paumé. Le dimanche matin, le parking de pas mal d’hôtel est rempli de voitures familiales, et les personnes qui payent sont souvent des femmes. Il paraît qu’elles ont repris le pouvoir. C’est elles qui trompent désormais. Tout comme les sites web qui se spécialisent dans le commerce de l’adultère. C’est bon pour le buisness et les bars, l’adultère. Voilà la vraie raison.
      Votre commentaire est d’une misogynie abjecte par ailleurs. Il faut tout leur apprendre à ces athéegristes désséchés.
      Je préfère lutter pour améliorer la condition sociétale des mères célibataires délaissées. C’est beaucoup plus urgent.

    • @patrice. Bien vu. Il faut savoir que les arabo musulmans peuvent tout à fait être adeptes du porno. Dans la théocratie iranienne si prude, la prostitution existe aussi par ailleurs. Les femmes sont juste voilées (les fameux tchadors clignotants). On peut parler aussi du mariage temporaire dit de jouissance histoire de permettre aux hommes de satisfaire leurs pulsions avec des gamines vierges le cas échéant. Tout se monnaie dans certains paradis musulmans. Bref beaucoup d’hypocrisie avec le voile comme prétendu rempart contre la prétendue luxure occidentale. Effectivement également beaucoup de frustration sexuelle et de peur panique vis à vis de la sexualité féminine qu’il faut finalement asservir. Quand les hommes sont réduits à des animaux et les femmes à des filles de joie en puissance. Triste culture.

  5. une femme avant d’ètre épouse et mère a d’abord été un petite fille puis une jeune fille puis une femme adulte accomplie.Réduire le statut de la femme uniquement à celui d’épouse et de mère c’est comme réduire le statut de l’homme à celui d’époux et de père.L’homme est-il seulement un époux et un père?Evidemment non!Alors pourquoi la femme serait-elle seulement épouse et mère?Les femmes célibataires ou celles qui n’ont pas d’enfants seraient-elles moins femmes que les autres?Le coran énnoblit certes le statut de parents et surtout celui de mère mais ne privilégie en aucun cas l’homme et ne minorise pas la femme :mèmes obligations religieuses,mèmes devoirs et mèmes droits ,mèmes chatiments(d’ici bas et dans l’au dela).Dans le coran il n’y a que des croyants et des croyantes,la masculinité et la féminité ne sont citées que pour marquer la différence physiologique de l’un et l’autre

      • @ Mistigris Le statut inférieur de la femme dans la quasi totalité des pays musulmans est le résultat d’un long processus traditionaliste,conformiste et misogyne,entretenu par la gent masculine musulmane aux origines lointaines bédouines où la femme n’est perçue que comme procréatrice et comme instrument de jouissance au service exclusif de l’époux.Cet état d’esprit persiste à nos jours,bien que le statut de la femme s’est quelque peu amélioré(instruction et obtention de quelques droits).De toute façon le statut inférieur de la femme ne diffère nullement de celui de toutes les femmes du monde.La femme dans le monde développé ne surpasse les autres que dans la forme(meilleur niveau de vie,meilleur instruction,un épanouissement relatif…)mais elle reste discriminée,infériorisée et convoitée car considérée avant tout comme femelle avant d’ètre une personne avec des attributs tout -a-fait identiques à ceux de l’homme c–à-d les attributs d’un ètre humain.

    • Je suis entièrement d’accord, en ce qui concerne la femme.
      Le problème, est la pensée humaine et en particulier, l’ordre républicain qui a réduit l’homme.

      Chez moi, il y a deux parties.

      Il y a les partisans du principe de comparaison qui disent, on applique la pensée humaine et dans laquelle on fait dissoudre du religieux pour lui donner un air conservateur et compatible avec le commun des mortels.

      Il y a aussi les partisans du principe de complémentarité, qui disent que l’islam n’est pas un soluté , c’est une solution, et à l’intérieur de laquelle on dissout la pensée humaine.

      Le monde Judao chrétien reste pire que la tribu du prophète.

      La tribu du prophète, avant l’islam, féminisait la volonté de dieu, et gardait tout ce qui est masculin pour eux, et le coran leur dit que votre partition des choses était injuste.

      Le monde Judao chrétien féminise l’homme. L’homme condamné à choisir entre être féminin ou être inhumain.

      Allez dire à un animal ou même une plante que le mâle et la femelle, c’est pareil.

      • “L’ordre républicain a réduit l’homme” ? Qu’est-ce que ce concept “l’ordre républicain” vient faire ici ? La république est un système politique gouverné par des élus. L”ordre républicain” est celui que la constitution des républiques cherche à garantir. En quoi un ordre républicain peut-il réduire les hommes, puisqu’il est opposé aux autocraties, théocraties, dictatures et autres pouvoirs autoritaires.
        Je pense même que cet “ordre républicain” ou plutôt “les valeurs républicaines”” ont mis l’homme au centre de leurs thèses, et ce n’est pas par hasard que la constitutionnalisation des droits de l’homme est née dans des républiques !!!

        • Didier,

          Ordre républicain outil de gestion, une approche technique des choses, pas de problème. Je suis pour les pensées constructives.

          Ordre républicain doctrine, non jamais, maudit soit cet ordre jusqu’à la fin des temps.

          Par définition, une pensée humaine juste, ne doit jamais être envahissante.

        • A waterwater.
          “ordre républicain doctrine” ? Je vous ai déjà dit que le concept “d’ordre républicain” n’existe pas, parlez des valeurs républicaines, pas d’ “ordre” républicain. Les mots ont un sens.
          En outre “doctrine républicaine” est aussi un concept inconnu, sauf chez les antirépublicains. La république n’est pas une doctrine mais un mode de gouvernement qui s’est accolé rapidement aux principes de la démocratie.
          En général, le mot république se suffit à lui-même. Lui ajouter un qualificatif conduit à la réduire et décrit généralement des régimes qui ne sont pas républicains. Par exemple :
          République démocratique (très appréciée des régimes communistes), qui cache la plupart du temps une vraie dictature.
          République islamique qui est fondée sur dogmes et qui est de fait autoritaire.

          Si on maudit cette république, ainsi que vous le dites, c’est peut-être parce qu’on est contre ses valeurs fondamentales en Occident, et ça, c’est un point de vue qui pourrait être considéré comme doctrinaire. Mais je vous connais pas, et donc je ne me hasarderai certainement pas à penser qu’il s’agit de votre cas.

      • waterwater : Sur le pla du droit, tous les etres humain sont égaux, et, une femme est un etre humain. Apres, vous faites ce que vous voulez, mais ici, une femme, a exactement les droit qu’ un homme. Et, en république, ce n’est pas négociable !

        • Je n’ai jamais dit le contraire.
          Egalité est une chose, qui veut dire monde réel.
          comparaison est une autre chose, qui veut dire monde virtuel.

          Ce n’est pas de la femme qu’il s’agit.

          Il s’agit du principe de comparaison, et qui veut dire dieu sous la religion des hommes, le monde à l’envers, on marche sur la tète.

          C’est mon avis, et je ne l’impose à personne, la vérité s’impose d’elle même, avec le temps.

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