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Avraham Burg, l’ex-président de la Knesset, venu soutenir les Palestiniens, brutalisé par l’armée d’occupation israélienne

D’où que l’on vienne, que l’on ait été, à l’instar d’Avraham Burg, une figure politique et morale d’Israël, totalement revenue du sionisme, il ne fait pas bon témoigner sa solidarité aux Palestiniens, victimes de l’effroyable pogrom de Huwara, le 26 février dernier, sous l’étendard de la Justice et de la Liberté. Un étendard qu’Israël, passé sous pavillon ultra-sioniste et fasciste, foule aux pieds en redoublant de férocité.

L’ex-président de la Knesset et de l’Organisation sioniste mondiale, qui déclarait dans un entretien accordé à l’Humanité en 2015 « Aujourd’hui, en Israël, le sionisme est un outil de discrimination » et estime que la prime à l’impunité n’a que trop duré, l’a appris à ses propres dépens, ainsi que la centaine d’Israéliens qui l’accompagnaient : il a été violemment repoussé par les soldats de l’armée d’occupation israélienne, dans le nord d’une Cisjordanie profondément meurtrie. (voir vidéo ci-dessous)

La scène illustre à quel point toutes les digues ont été pulvérisées, atomisées, sous le règne impitoyable du criminel de guerre et délinquant en col blanc, Benyamin Netanyahou.

 

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