Algérie: choc de la modernité, crise des valeurs et des croyances
Algérie: choc de la modernité, crise des valeurs et des croyancesSoufiane Djilali président du parti politique algérien Jil Jadid ( Nouvelle génération) et auteur du livre “La société algérienne: choc de la modernité, crise des valeurs et des croyances” affirme dans cet entretien dans l’Esprit d’actu que l’Algérie affronte une mutation profonde de ses structures sociétales, passant d’une société traditionnelle à une modernité naissante. Une transition qui explique en partie la crise profonde que connaît ce pays atteint selon l’auteur d’une véritable pathologie. D’où l’urgence d’un projet politique pour construire une Algérie sur des bases rationnelles. Rappelons également que Sofiane Djilali donnera une conférence samedi 25 novembre à 14h00 à l’Espace Ageca, 177, rue de Charonne Paris 75011 (metro Alexandre Dumas).
Publié par Oumma.com sur jeudi 23 novembre 2017
Algérie: choc de la modernité, crise des valeurs et des croyances
5 commentaires
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Cette conférence l’a-t-il faite en Algérie ? C’est curieux ,j’ai remarqué qu’il y avait de nombreuses conférences – et des colloques – sur l’Algérie en France .
J’espère que le peuple algérien est au courant que l’on s’intéresse à leur sort sur place même …..
“passant d’une société traditionnelle à une modernité naissante”
Depuis 1962, et le quadruplement de la population, il serait temps pour l’Algérie de passer à la vitesse supérieure.
Le pétrole ne sera pas toujours là…
A puissance égale , on augmente la vitesse ou la force.
Je préfère augmenter la force.
Le plus rapide ne veut pas dire forcement le plus fort.
Société traditionnelle > société moderne, faut le savoir.
Soufiane Djilali dit des vérités mais ou bien il est naïf ou bien c’est du calcul politicien car la société algérienne en général ne vit pas dans son temps, il y a deux type de société, celle qui voit en avant et celle qui voit en arrière, et malheureusement, on appartient à cette dernière.
L’emprise de l’amalgame culturo-religieuse dogmatique est trop fort dans notre société, il faudrait des générations avec un travail ardu et constant pour que les mentalités changent.