Le gouvernement algérien semble avoir opté pour la prudence dans la gestion de l’affaire de l’ex-chef de la CIA à Alger qui est accusé du viol de deux femmes.
« C’est un diplomate, il est protégé par des conventions. Mais la question fondamentale est de savoir si c’est un malade sexuel ou s’il a fait ça dans l’intention de chantage pour recruter des gens à des fins d’espionnage. Selon l’un ou l’autre des cas, la gestion (de cette affaire) sera différente », a indiqué, hier, le ministre de l’intérieur Nourredine Zerhouni en marge de la cérémonie de clôture de la session parlementaire d’automne. Il a néanmoins assuré que les deux victimes n’ont pas saisi la justice algérienne.
Source :www. lesoirdalgerie.com
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