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11-Septembre : la vidéo explosive

Exclusif. Une vidéo inédite du 11-Septembre, détenue à l’origine par le FBI et obtenue par Oumma, corrobore, pour la première fois, les nombreux témoignages faisant état de détonations lors de la chute des Tours jumelles. Cette nouvelle révélation accrédite la thèse d’une démolition contrôlée.

Qui pouvait avoir accès aux tours du World Trade Center pour y poser des bombes ? Sur cette vidéo que s’est procurée Oumma, des passants sont pris de panique en tentant de se protéger de l’effondrement de la Tour Sud. Ce 11 septembre 2001, à 9h59, c’est la stupeur à New York : attaqués par de mystérieux terroristes, les habitants de Manhattan assistent à la pulvérisation d’un gratte-ciel, haut de 110 étages, en une dizaine de secondes. Si les images témoignent du choc, la bande son révèle un élément stupéfiant, déjà rapporté par quantité de secouristes et journalistes ce matin-là : le bruit d’explosions, perçu avant et durant la chute de l’immeuble. Entre 16’ et 26’, notamment à partir de la 20ème seconde, des détonations sont parfaitement audibles.

Depuis neuf ans, il n’y avait pas eu la trace, du moins publiquement, d’une captation sonore aussi nette que celle accompagnant ces images. La divulgation de cette vidéo résulte d’un combat judiciaire : celui du « Centre international pour l’étude du 11-Septembre ». Cette association à but non-lucratif, dont le directeur avait été interviewé le mois dernier par Oumma, s’est donnée comme mission de mettre à disposition des citoyens l’ensemble des documents audiovisuels émanant de professionnels ou d’amateurs et relatifs au 11-Septembre. Le fonds d’archives avait été, jusqu’en juin 2009, sous la supervision exclusive du NIST, une agence gouvernementale chargée de l’enquête scientifique sur les causes de la chute des 3 tours du World Trade Center (WTC1 , 2 et 7). Depuis plus d’un an, l’organisme s’est vu obligé, au regard de la loi sur la liberté d’information, de transmettre l’intégralité de ces documents au Centre. Au fur et à mesure, celui-ci a reçu, identifié et numérisé quantité de vidéos et de photos réalisées durant les attentats. Le but : mettre en ligne les documents pertinents déjà visionnés par leur petite équipe et rendre accessible, au travers du téléchargement, l’ensemble des documents déjà traités.

Sur les 147 gigaoctets disponibles à ce jour et correspondant à des centaines d’heures de vidéos figurent les archives collectées par le FBI pour sa propre investigation, toujours en cours, sur les attentats. Il s’agit pour la plupart de vidéos collectées ou saisies par les agents spéciaux auprès de citoyens alors présents, avec leur caméra personnelle, sur les lieux du crime. L’extrait mis en ligne par Oumma provient ainsi d’une vidéo de 21 minutes, dénommée « 42A0065 – FBI#11 ». Manifestement réalisée, au vu de l’accent de son narrateur, par un Britannique résidant face à la Tour Sud, les images s’attardent essentiellement sur la confusion des badauds, à la suite de l’impact du premier avion. Le caméraman et un ami avec lequel il s’entretient tout au long du film vont quitter l’appartement donnant sur la Tour pour s’aventurer dans les rues et filmer les réactions des passants. Tout se passe ici en une heure, de la découverte du gratte-ciel en flammes à l’écroulement spectaculaire de l’autre tour qui lui fait face. Il est alors 9h59 quand cet homme et son camarade se réfugient dans un bâtiment pour fuir l’avalanche de débris. Dans l’extrait d’une minute retenu par Oumma, on entend distinctement, outre les détonations, quelqu’un s’exclamant ainsi à 41’ : « The explosions, like boom-boom-boom-boom-boom-boom ! ». Des bruits d’explosions, perçus et soulignés à voix haute par cet homme, comme s’il voulait vérifier autour de lui si d’autres partageaient la même impression quant à cette succession de détonations.

Démolir le 11-Septembre

« Boom » : c’est le mot qui revient souvent, instinctivement, pour qualifier le son d’un explosif. De nombreux témoins ou rescapés des attentats l’ont ainsi utilisé pour indiquer ce qu’ils ont nettement entendu ce jour-là.

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D’autres images ont été capturées aux abords de la Tour Sud, lors de sa désintégration : malgré une qualité d’image souvent meilleure à celle du caméraman amateur, la prise de son n’est pas aussi nette que celle de la vidéo acquise par le FBI.

Quant au mot “explosion”, il était sur toutes les lèvres ce matin du 11 septembre à New York. Pourtant, la plupart des médias l’auront rapidement évacué dans leur récit des évènements. Ainsi, dans un premier temps, Aaron Brown, l’ancien présentateur-vedette de CNN qui assista à l’effondrement de la Tour Sud, n’hésitait pas à parler lui-même, quelques instants plus tard, de « huge explosion »  : une énorme explosion. Une heure après, son audace sémantique s’est réfrénée : « Il y avait une énorme… Je ne veux pas dire « explosion » mais un énorme panache de fumée » avant de préciser qu’il n’était « pas clair si les énormes vacarmes entendus résultent d’explosions produites dans l’immeuble ou bien , tout simplement, des sons causés par l’effondrement ». Trente minutes plus tard, une divine réponse lui est chuchotée à l’oreille : en effet, alors qu’il est à l’antenne et qu’il tente de relativiser l’hypothèse d’une « seconde explosion » ayant provoqué l’effondrement, une mystérieuse voix, audible à 20’, lui suggère de répéter les mots « structural failure ». Le journaliste semble alors confus et se contente d’évoquer finalement un « effondrement structurel ».Qu’est-ce que la « défaillance structurale » évoquée par cet « expert » bien opportun ? C’est l’argument scientifique officiel qui sera bientôt mis en avant pour chasser le doute de tous ceux qui ont cru voir autre chose dans le 11-Septembre, à savoir la démolition contrôlée des trois tours du World Trade Center. Il n’est pas encore midi quand Aaron Brown finit par rendre les armes  et de manière ô combien éloquente : « Cela ressemble presque à une de ces implosions programmées mais, bien sûr, il n’y avait rien de programmé et ce n’était pas une implosion ».

Les détonations audibles et relatées dans la vidéo du FBI suggèrent l’exact contraire du propos du journaliste de CNN : une tour non pas « effondrée » mais « pulvérisée » à la suite d’une « implosion programmée ». La théorie en vogue d’une  « démolition contrôlée » est notamment promue par AE911Truth, une association regroupant plus de 1300 architectes et ingénieurs . Voilà deux ans, j’avais eu l’opportunité d’interviewer longuement son porte-parole, l’architecte californien Richard Gage. Si son hypothèse s’avérait juste, c’est le noyau dur de la version officielle qui s’en retrouverait détruit : les attentats ne pourraient pas, en conséquence, être uniquement l’opération d’un groupe isolé –Al Qaida- mais bien plutôt la manœuvre sophistiquée d’un plus vaste réseau, capable de bénéficier d’un accès sécurisé aux Tours pour y préinstaller des explosifs. Même le FBI avait envisagé, dès les premières heures, la piste d’un «  impact secondaire »  dans la Tour Sud ainsi que celle d’explosifs préalablement positionnés sous les gratte-ciels. Cette voie d’investigation est toujours à l’ordre du jour, y compris pour certains journalistes, défenseurs acharnés de la version officielle. Dans un entretien accordé en 2007 à la Télé Libre, Guillaume Dasquié, superviseur à ce sujet d’une « grande enquête spécial désintoxication » vivement décriée par les internautes, avait pourtant concédé, du bout des lèvres, que l’hypothèse d’explosifs préinstallés dans le World Trade Center était « peu probable mais (qu’) on ne l’exclut pas ».

Désormais, il est sans doute temps, au regard des éléments d’information accumulés depuis neuf ans, de renverser cet argument et de ne plus « exclure » l’hypothèse selon laquelle l’opération du 11-Septembre a pu être facilitée, voire élaborée, par une partie tierce, qu’il reste encore à identifier. Aussi ridicule que la version officielle, et finalement démentie seize ans plus tard, d’un « tireur isolé » dans l’attentat contre Kennedy, le récit de l’Administration Bush, complaisamment relayé par l’ensemble des médias occidentaux et faisant état de l’action d’un « groupe isolé », serait détruit par l’émergence de nouvelles preuves concordantes et irréfutables au sujet de ces détonations. En dévoilant aux internautes cette vidéo inédite du FBI, Oumma continue d’affirmer son engagement pour une cause bien précise : la manifestation de la vérité quant à l’étendue des complicités criminelles autour du 11-Septembre. Cet assassinat collectif, prétexte à des guerres ayant ravagé la vie de millions d’êtres humains au bénéfice de quelque uns, doit être élucidé. Sans relâche.

Complément d’information, publié en date du 09/11/10 : 11-Septembre : le casque sur les oreilles

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