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Les thèses inexportables de Geert Wilders infiltrent le Royaume-Uni

Bouté hors du Royaume-Uni le 12 février dernier, dans un magistral renvoi à la case départ, les Pays-Bas, opéré par les autorités britanniques, le dangereux agitateur d’extrême droite, Geert Wilders, se voyait alors infliger un traitement à l’aune de sa capacité de nuisance : être interdit d’entrée sur le sol anglais.

Refoulé comme un ennemi d’Etat, on se réjouissait dès lors que, celui qui a déclaré ouvertement la guerre à l’islam européen dans un film ignominieux « Fitna », soit classé persona non grata Outre-Manche, jugé aussi inexportable que ses thèses anti-musulmanes fielleuses.

Rongeant son frein depuis cette cinglante humiliation, l’illuminé raciste néerlandais, Geert Wilders, habitué des prétoires après avoir été poursuivi pour discrimination envers les musulmans dans son propre pays, attendait l’arbitrage d’un tribunal londonien de l’immigration, qui a bien imprudemment levé son interdiction de séjour mardi dernier.

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Il n’en fallait pas plus au parlementaire, véritable pyromane du multiculturalisme et de l’Europe, pour tenter de nouveau d’infiltrer le territoire qui lui avait barré la route quelques mois plus tôt, en exploitant médiatiquement ce consternant revirement politique d’un poids lourd européen comme une « victoire de la liberté d’expression ».

Une liberté d’expression pitoyablement dévoyée lorsqu’elle est scandée par un fanatique, tel que Geert Wilders, un héritage des Lumières en grand péril, lorsqu’il devient une tribune inespérée pour un farouche anti-musulman doublé d’un anti-européen notoire, vendredi prochain à Londres.

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