Dans un article paru dans le quotidien El Watan, le FFS qui est un des principaux partis de l’opposition en Algérie, a appelé les Algériens à un boycott actif du scrutin présidentiel du 9 avril 2009. Lors d’une session ordinaire du conseil national de ce parti, le premier secrétaire du FFS, Karim Tabbou a affirmé que « le boycott de ce scrutin est un acte révolutionnaire. Boycotter, c’est aimer son pays, c’est avoir des ambitions pour son pays » (…) « les élections et changements de Constitution depuis l’indépendance ne font que reproduire la crise et ce système. Les Algériens savent que les élections ne sont d’aucun impact positif sur leurs vies. Les élections sont organisées pour le maintien du statu quo ».
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