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BHL, nouveau maître à penser du Parti Socialiste …

Le PS est mort, vive le PS !

Délaissant provisoirement l’infiniment grand de la scène mondiale pour s’inviter dans l’infiniment petit du théâtre politique hexagonal, le philosophe du droit d’ingérence poussé à son paroxysme, qui nous accable de ses fulgurances sur tout, à tout propos, et via tous les médias, s’est fait fort de prédire avant tout le monde la « mort du PS »…

Offrant la primeur de sa mise à mort rhétorique du Parti socialiste au Journal du Dimanche, dans une métaphore on ne peut plus explicite : « la maison morte », l’expert tout terrain de la spéculation, qu’elle soit intellectuelle ou boursière, a profité de cette tribune pour porter l’estocade à son leadership, Martine Aubry en personne.

Le visionnaire de la gauche caviar, qui ne veut pas être en reste, hurle avec les loups de la dissidence socialiste, dont notamment Manuel Valls, en appelant de ses vœux la dissolution de ce « grand corps malade », tout en préconisant pour l’heure de procéder non pas à sa refondation, mais plutôt à une refonte : celui de son nom !

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Un premier défi de taille, dont on mesure l’enjeu décisif pour l’avenir …

Le magnat des affaires, dont le cœur palpite à gauche, se mue en gourou de la communication politique, parlant de renouveau en puisant dans l’arrière-garde au lourd passif, Ségolène Royal, ou encore Dominique Strauss-Kahn, et conseillant de recourir à des « primaires à la française, pour aboutir à ce nouveau parti de gauche qui rompra avec la machine à perdre ».

BHL se rêverait-il en Seguela du PS du XXIème siècle ? S’il se révèle un meilleur concepteur de slogan que réalisateur de long métrage, alors il s’en approchera peut-être…

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